« Cette initiative novatrice, menée par les artistes Philippe-Emmanuel David et Angèle Courville, vise à valoriser notre milieu de vie en misant sur l’expression artistique collective », a partagé la Ville de Saint-Hyacinthe par le biais d’un communiqué présentant les grandes lignes de ce projet.
« À travers la réalisation d’œuvres mêlant photographie et paysages sonores, Regard hybride propose d’explorer le territoire sous un angle sensible et inclusif. Chaque œuvre vise à capter les patrimoines humains, culturels, naturels et bâtis à Saint-Hyacinthe, en mettant en lumière les regards pluriels qui composent notre quotidien », est- il décrit.
Une première rencontre d’introduction au projet se tiendra le mercredi 28 mai, de 18 h 30 à 20 h, en présence des deux artistes qui piloteront cette initiative. Cette conférence gratuite se tiendra à la bibliothèque T.-A.-St-Germain.
Des ateliers de discussion et de création
Pour donner le coup d’envoi au projet, les artistes Philippe-Emmanuel David et Angèle Courville animeront trois ateliers de discussion « autour de sujets importants afin de permettre d’adopter un regard adapté, bienveillant et inclusif ». Ces ateliers se tiendront le mardi 17 juin de 18 h à 20 h ainsi que le mercredi 18 juin de 11 h 30 à 13 h et de 18 h à 20 h. Ils seront gratuits et aucune inscription n’est nécessaire. Le lieu de rencontre sera partagé en temps et lieu sur le site de la Ville de Saint-Hyacinthe, au st-hyacinthe. ca/mediation-culturelle.
Trois séries d’ateliers de création seront ensuite proposées à partir de cet été. Une première cohorte de participants sera formée du 20 juillet au 4 août sous le thème « territoires adaptés ». Une seconde cohorte sera formée du 29 septembre au 3 octobre sous le thème « territoires bienveillants ». Une troisième et dernière cohorte bouclera le projet du 22 au 26 mars sous le thème « territoires inclusifs ». Pour joindre une cohorte, il sera nécessaire de s’inscrire via le site Internet de la Ville dans la section « Cohabitation sociale ».
« Regard hybride est bien plus qu’un projet artistique : c’est une invitation à tisser des liens, à se raconter autrement et à bâtir ensemble un territoire plus inclusif, à l’image de ceux qui l’habitent », a ajouté la Ville de Saint-Hyacinthe. M.P.D.