Comme nous l’expliquionsdans notre édition du 13 avril, c’est l’une des raisons pour lesquelles le promoteur, Gestion Rodier, a demandé que le dossier fasse l’objet d’un « projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble » (PPCMOI) à l’intérieur de la zone concernée.
Ce PPCMOi a été soumis à l’approbation des résidants du secteur, maisaucune demande d’approbation référendaire du projet n’a été présentée à l’intérieur du délai prescrit.
Les autres dérogations maintenant autorisées à cet endroit concernent le pourcentage de maçonnerie, lequel sera inférieur à la norme pour les édifices de huit logements et plus, et l’utilisation de la cour avant pour le stationnement et les conteneurs de matières résiduelles.
Le promoteur devra toutefois conserver plusieurs des arbres qui se trouvent sur la propriété et en planter de nouveaux, tel que stipulé au PPCMOI. « La plupart des arbres seront conservés », soutient Dominic Rodier, de Gestion Rodier, dans un courriel qu’il a transmis au COURRIER le 13 avril.
Une maison dont la partie la plus ancienne daterait de 1900 et des bâtiments de ferme seront démolis, mais ces travaux ne nécessitent pas l’approbation du comité de démolition.
La propriété n’appartient à aucun des rares secteurs qui sont demeurés visés par le règlement de démolition après l’allègement apporté à cette règlementation en 2013.