17 avril 2014 - 00:00
Ouverture des Trouvailles de l'Abbé Leclerc
Des vêtements qui redonnent à la communauté
Par: Le Courrier
La joie de l'abbé André Leclerc et d'André Arpin était contagieuse lors de l'ouverture de la friperie Les Trouvailles de l'Abbé Leclerc, au centre-ville de Saint-Hyacinthe.

La joie de l'abbé André Leclerc et d'André Arpin était contagieuse lors de l'ouverture de la friperie Les Trouvailles de l'Abbé Leclerc, au centre-ville de Saint-Hyacinthe.

La joie de l'abbé André Leclerc et d'André Arpin était contagieuse lors de l'ouverture de la friperie Les Trouvailles de l'Abbé Leclerc, au centre-ville de Saint-Hyacinthe.

La joie de l'abbé André Leclerc et d'André Arpin était contagieuse lors de l'ouverture de la friperie Les Trouvailles de l'Abbé Leclerc, au centre-ville de Saint-Hyacinthe.

La friperie Les Trouvailles de l'Abbé Leclerc, qui a ouvert ses portes il y a quelques jours, risque de devenir un incontournable au centre-ville de Saint-Hyacinthe pour les amateurs de magasinage à prix mini.

Une soixantaine de personnes étaient réunies dans les locaux de l’ancien magasin Antonio Moreau, sur la rue des Cascades, pour célébrer l’ouverture de cette boutique d’économie sociale mise sur pied par le Centre de bénévolat de Saint-Hyacinthe.

L’abbé André Leclerc, le saint homme qui se cache derrière le nom de la friperie, a gratifié la foule de sa présence et se disait très fier de ce projet pour lequel il entrevoit une belle longévité. Remplaçante du comptoir familial de la rue Robert, la friperie propose une expérience de magasinage à bas prix – entre 0,50 $ et 10 $ – dans un décor au goût du jour et un espace bien dégagé. Des jouets et des articles de cuisine sont aussi disponibles. Le trésorier du conseil d’administration du Centre, Marc Dumaine, a rappelé que depuis le début, son équipe et lui avait un seul souci en tête : celui d’offrir un même bas prix, malgré le déménagement dans des installations neuves. Seuls les vêtements en parfait état sont conservés pour la vente, les autres étant expédiés à Certex, un centre de récupération et de recyclage des textiles. « Avec Certex, nous encourageons une autre entreprise d’économie sociale, en plus de récupérer des sommes pour les vêtements que nous leur vendons », explique André Arpin, ancien directeur général du Centre de bénévolat. En plus d’un grand rez-de-chaussée dédié à la boutique, le bâtiment comporte un sous-sol de la même taille où s’empilent jusqu’au plafond des sacs de vêtements à trier. De grandes tables de travail occupent le centre de la pièce pour faciliter la tâche des bénévoles et une grande superficie est dédiée au rangement des vêtements. « Rien à voir avec l’ancien comptoir! », lâche M. Arpin, visiblement satisfait des nouveaux locaux. « Le sous-sol est si bien aménagé pour notre friperie, car autrefois, c’était un magasin de textile et les clients venaient en bas pour acheter. C’est pour cela qu’il nous fallait ce bâtiment-ci pour le projet. En plus, il y a un monte-charge. C’est idéal pour les bénévoles », s’enthousiasme-t-il. Le Centre de bénévolat profitera de ses nouvelles installations pour y regrouper deux autres projets. L’activité J’habille un ami, qui offre gratuitement un ensemble de vêtements d’hiver à une soixante d’enfants identifiés par la commission scolaire, et le Village du Père Nöel.

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