L’aéronef aurait bifurqué de sa trajectoire au décollage avant d’emboutir deux fuselages d’avion, en attente de réparations, un peu plus loin, a indiqué au COURRIER le directeur de l’aéroport, Gabriel Chartier.
« C’était un ultraléger de base, poursuit-il, et le moteur venait d’être remplacé par le propriétaire. C’était le premier vol d’essai [depuis l’installation du nouveau moteur]. »Selon lui, le pilote impliqué dans cet accident était expérimenté. « Pourquoi s’est-il écrasé? Je ne pourrais pas le dire. »La Sûreté du Québec, qui s’est rendue sur place afin de s’assurer qu’il n’y avait pas d’élément criminel en cause, a indiqué que l’homme avait été transporté en ambulance, mais que ses blessures étaient légères.Gabriel Chartier soutient que le pilote a été chanceux dans sa malchance. « Ça lui a sauvé la vie de s’écraser sur deux fuselages d’avion. Ça a absorbé le coup. »De 50 à 60 mouvements sont exécutés chaque jour sur la piste de l’aéroport de Saint-Hyacinthe, où plus de 180 avions sont entreposés durant cette période de l’année. Des appareils québécois, mais aussi en provenance de l’Ontario, se posent notamment en sol maskoutain.
Selon lui, le pilote impliqué dans cet accident était expérimenté. « Pourquoi s’est-il écrasé? Je ne pourrais pas le dire. »
La Sûreté du Québec, qui s’est rendue sur place afin de s’assurer qu’il n’y avait pas d’élément criminel en cause, a indiqué que l’homme avait été transporté en ambulance, mais que ses blessures étaient légères.
Gabriel Chartier soutient que le pilote a été chanceux dans sa malchance. « Ça lui a sauvé la vie de s’écraser sur deux fuselages d’avion. Ça a absorbé le coup. »
De 50 à 60 mouvements sont exécutés chaque jour sur la piste de l’aéroport de Saint-Hyacinthe, où plus de 180 avions sont entreposés durant cette période de l’année. Des appareils québécois, mais aussi en provenance de l’Ontario, se posent notamment en sol maskoutain.