L’équipe de rédaction du COURRIER et son atelier de montage se sont entre autres partagé une bonne douzaine de nominations, trois premiers prix ainsi que le Grand Prix de la qualité de la langue.
« Cette récolte impressionnante confirme une fois de plus la grande qualité de l’ensemble de notre équipe de rédaction et de production. C’est pour nos lecteurs et nos annonceurs que nous cherchons constamment à nous dépasser, afin de leur offrir une information et un journal pertinent et à la hauteur de leurs attentes », a commenté Benoit Chartier, éditeur du Courrier de Saint-Hyacinthe et vice-président d’Hebdos Québec, l’association derrière l’organisation de ce concours.
Les journalistes du COURRIER se sont démarqués dans les plus prestigieuses catégories regroupant des textes produits en 2014. À commencer par le rédacteur en chef et éditorialiste Martin Bourassa qui a mérité le premier prix de la catégorie Éditorial de l’année pour le texte Cruel janvier, dans lequel il faisait un touchant parallèle entre les tragédies de L’Isle-Verte et du Collège Sacré-Coeur de Saint-Hyacinthe.
M. Bourassa a aussi obtenu une mention d’honneur dans la catégorie Affaires municipales pour son texte sur les frais juridiques de 200 000 $ engagés par le CLD et la Cité de la biotechnologie dans une affaire d’accès à l’information.
Le journaliste Jean-Luc Lorry a connu une soirée faste en remportant le premier prix de la catégorie Affaires municipales pour un reportage traitant de la découverte embarrassante faite par la Ville de Saint-Hyacinthe concernant le contenu de la charte de fondation de la Cité de la biotechnologie. Dans la même veine, il a reçu le troisième prix de la catégorie Reportage avec un dossier sur les fonds obscurs du CLD local.
M. Lorry a aussi retenu l’attention du jury dans la catégorie Environnement avec un reportage sur un déversement accidentel survenu à l’usine Véolia.
Le journaliste Benoit Lapierre a pour sa part obtenu le tout premier prix de la catégorie Économie et finance avec son dossier mettant en lumière le rapport revu et corrigé de la firme Raymond Chabot Grant Thornton sur le CLD Les Maskoutains.
De son côté, la journaliste Jennifer Blanchette a réussi un doublé, en méritant le second prix de la catégorie Éducation avec sa révélation au sujet du bilan de santé au privé dont bénéficie le directeur général du Cégep de Saint-Hyacinthe et une mention d’honneur dans la catégorie Agroalimentaire avec le changement de garde survenu à la Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe.
Le travail de notre atelier de montage a également été salué. La directrice de l’atelier Josée Cusson et son équipe ont obtenu une mention d’honneur dans la catégorie Graphisme afin de souligner la refonte graphique qui a profité au Clairon de Saint-Hyacinthe.
L’infographiste Alex Carrière a également reçu pareille mention dans la catégorie Annonce publicitaire pour la conception de la publicité Le Clairon, un journal vert.
Une autre publication membre du groupe de presse DBC Communications s’est aussi distinguée au concours d’excellence, à savoir La Pensée de Bagot.
L’hebdomadaire de la région d’Acton Vale a pour sa part été finaliste du Grand Prix de la qualité de la langue. Le journaliste Alain Bérubé n’est certes pas étranger à cet honneur puisqu’il a lui-même obtenu une mention d’honneur du jury dans cette même catégorie pour souligner sa maîtrise de la langue française.
Rémi Marcoux honoré
La soirée des Grands Prix des hebdos a aussi été l’occasion d’honorer de brillante façon un grand bâtisseur et défenseur de la presse hebdomadaire québécoise, en la personne de Rémi Marcoux, fondateur des imprimeries Transcontinental devenues le groupe de presse TC Transcontinental.
Pour l’ensemble de son oeuvre et le caractère exceptionnel de sa carrière, M. Marcoux a été intronisé à l’Ordre des hebdos, lui qui a profité de cette tribune pour rappeler l’amour inconditionnel qu’il porte à la presse hebdomadaire, une presse qui se réinvente sans cesse et qui saura perdurer malgré des crises passagères.
« C’est un honneur pleinement mérité, a souligné Benoit Chartier, vice-président d’Hebdos Québec et ami personnel du lauréat. Rémi Marcoux a toujours été un grand visionnaire et un passionné. Il m’a toujours fortement inspiré et appuyé depuis mes tout premiers pas à titre d’éditeur du COURRIER. Je lui dois beaucoup. »
Rappelons que les familles Marcoux et Chartier sont intimement liées puisque l’extraordinaire aventure des imprimeries Transcontinental a débuté à Saint-Hyacinthe quand M. Marcoux a acquis sa seconde imprimerie en 1979, des mains de Denis Chartier, père de Benoit. Ce fut le début de l’empire TC.