Avec le même groupe depuis ses débuts – Groupe Transaction Multi Services qui est devenu la bannière Royal LePage – et 100 % Maskoutaine, la courtière a débuté à une époque où tout se faisait à la main… et où une maison pouvait se vendre 45 000 $! « Je suis montée une marche à la fois dans ce domaine et j’ai acquis mon expérience petit à petit. Nous étions tout le temps sur la route et côté technologique, c’était zéro. Tout se faisait à la mitaine! Mais j’aimais et j’aime toujours servir les gens », souligne avec aplomb Johanne Brabant.
De la fiche maison remplie à la main à l’ère du télécopieur et du téléavertisseur jusqu’à la révolution des courriels et du texto, les agents et courtiers en immobilier ont su s’adapter et évoluer dans un monde où la technologie a révolutionné la profession au fil du temps. « Malgré tout, il y a des choses qui ne s’apprennent pas dans les formations et où la technologie n’aide en rien. Par exemple, savoir trouver le juste prix pour une maison ou analyser les comparables, c’est quelque chose que l’on apprend sur le terrain. Ça devient intuitif avec le temps. C’est pourquoi l’immobilier doit être avant tout une passion, car je dois guider les gens, les entourer et avoir la bonne attitude en tout temps. La rigueur est aussi de mise », ajoute Mme Brabant.
La bonne attitude, la manière sécuritaire de faire les choses devant l’investissement majeur que représente l’achat d’une propriété pour les gens, Johanne Brabant a toujours eu comme devise de servir le client comme elle aimerait être servie elle-même. Dans un monde où la référence est roi, Mme Brabant sait combien un nom est précieux. « Une bonne réputation, être référé par d’autres clients et que l’on vienne vers moi, cela a toujours été le plus beau compliment de la terre pour moi. Que l’on ressente ma passion à négocier, à faire visiter des maisons, depuis toujours j’adore cela! Et la clientèle me le rend bien! »
Le client, l’équipe et la famille!
Aujourd’hui, évoluant au sein de l’Équipe Johanne Brabant depuis environ cinq ans, la courtière a su s’entourer des bonnes personnes pour que sa clientèle soit toujours entre bonnes mains. « De plus en plus, je me concentre sur ce que je sais faire de mieux et ce dans quoi je suis le plus efficace. Je serai toujours celle qui adore la négociation, les visites, le contact avec le monde. Et maintenant, avec des outils comme Skype par exemple, c’est incroyable tout ce que nous pouvons faire sans nous déplacer. Ce qui augmente notre efficacité, parce que le but, c’est toujours et avant tout de satisfaire le client dans les meilleurs délais. »
Avec un grand fils de 13 ans, Johanne Brabant a aussi su, avec les années, concilier intelligemment travail-famille dans un métier où l’horaire n’est pas toujours facile à gérer. « C’est important pour moi et il faut savoir s’arrêter. Maintenant, si mon fils a congé, j’ai congé moi aussi le plus souvent possible. Au début, dans l’immobilier, il faut investir beaucoup de son temps et les coûts de fonctionnement sont élevés. Il faut vendre, ce n’est pas facile. Mais maintenant, avec une équipe sur qui je peux compter, qui m’appuie de si belle manière, je peux aussi prendre soin de moi plus souvent et le client est toujours servi de manière impeccable », conclut Johanne Brabant.