22 juin 2017 - 00:00
Une bourse pour un étudiant maskoutain
Par: Marie-Pier Leboeuf
Sur la photo (de gauche à droite) : la directrice du Centre de formation des Maskoutains Sylvie Ménard, la directrice des communications chez caisse Desjardins Saint-Hyacinthe Hélène Duchaine, le récipiendaire Hervé Osakanu Enga, le commissaire Steve Croteau, et la conseillère d’orientation et agente de développement Nancy Arsenault. Photo Robert Gosselin - Le Courrier

Sur la photo (de gauche à droite) : la directrice du Centre de formation des Maskoutains Sylvie Ménard, la directrice des communications chez caisse Desjardins Saint-Hyacinthe Hélène Duchaine, le récipiendaire Hervé Osakanu Enga, le commissaire Steve Croteau, et la conseillère d’orientation et agente de développement Nancy Arsenault. Photo Robert Gosselin - Le Courrier

Sur la photo (de gauche à droite) : la directrice du Centre de formation des Maskoutains Sylvie Ménard, la directrice des communications chez caisse Desjardins Saint-Hyacinthe Hélène Duchaine, le récipiendaire Hervé Osakanu Enga, le commissaire Steve Croteau, et la conseillère d’orientation et agente de développement Nancy Arsenault. Photo Robert Gosselin - Le Courrier

Sur la photo (de gauche à droite) : la directrice du Centre de formation des Maskoutains Sylvie Ménard, la directrice des communications chez caisse Desjardins Saint-Hyacinthe Hélène Duchaine, le récipiendaire Hervé Osakanu Enga, le commissaire Steve Croteau, et la conseillère d’orientation et agente de développement Nancy Arsenault. Photo Robert Gosselin - Le Courrier

Le finissant au programme de dessin de bâtiment de l’École professionnelle de Saint-Hyacinthe (EPSH) Hervé Osakanu Enga est récipiendaire d’une bourse de 500 $ remise par la Fondation Desjardins pour le prix Bernard-Normand. Ses efforts, sa persévérance et sa détermination lui auront permis de se démarquer de ses comparses.


Le prix Bernard-Normand de la Fondation Desjardins récompense des adultes aux études ayant fait face à des obstacles importants dans la poursuite de leur parcours éducatif. C’est le cas de Osakanu Enga qui a dû recommencer une grande partie de sa scolarité à son arrivée au Québec à l’automne 2011.

Il a d’abord complété son français présecondaire, son diplôme d’études secondaires (DES) et il complète aujourd’hui son diplôme d’études professionnelles (DEP). Il vise le marché du travail et l’université d’ici quelques années pour se perfectionner. C’est avec beaucoup de fierté que le boursier entrevoit son parcours académique, au cours duquel il a dû apprendre le mode de vie québécois, la langue française, en plus de traverser la maladie. Malgré tout, les études sont toujours restées sa source de motivation.

« J’avais en moi une lumière qui éclairait tout le temps même s’il y avait des difficultés et des tempêtes, donc je n’ai pas lâché. Ça m’a donné la motivation et la force », a confié l’étudiant maskoutain en dessin de bâtiment de l’EPSH. « Je me suis mis un défi, c’était important pour moi et je l’ai fait », conclut-il avec détermination.

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