Rien de comparable à la situation connue l’an dernier alors que les élèves de l’école Larocque avaient été contraints de passer quelques jours au Centre culturel Humania à cause d’imprévus dans le projet de rénovation de leur école. Pour la rentrée 2019, les principaux projets toujours actifs se situaient dans les écoles primaires de La Présentation, de Saint-Liboire (Henri-Bachand) et d’Acton Vale (Saint-André), en plus de Saint-Marcel, où se dresse maintenant une toute nouvelle école, mais dont la finition reste encore à achever.
Précisément, il reste des travaux à exécuter sur la cour d’école, les clôtures, l’œuvre d’art, la pelouse et quelques autres petits travaux, a commenté la régisseuse aux communications de la CSSH, Sagette Gagnon. La date d’inauguration officielle pourrait être annoncée « bientôt ». Dans l’ensemble des projets en cours, « tout a été mis en place afin que les lieux soient sains et sécuritaires pour les élèves et le personnel » malgré les travaux, a aussi assuré Mme Gagnon.
Autre réalité à laquelle la CSSH n’échappe pas, la pénurie de main-d’œuvre a aussi ses effets dans nos écoles. En date du 30 août, il manquait l’équivalent de quatre postes d’enseignants à temps plein, mais aussi trois postes de techniciens en éducation spécialisée, selon les données de la CSSH. Une situation évidemment loin d’être idéale, même si la situation semble évoluer rapidement. À peine trois jours plus tôt, la directrice des ressources humaines de la CSSH, Chantal Langelier, parlait à La Presse d’un déficit équivalent à 8,82 postes à temps plein pour ce qui est des enseignants. Elle évoquait également comme enjeu le manque de suppléants pour effectuer les remplacements nécessaires en cours d’année scolaire.