Après avoir joué un dernier match au Stade L.-P.-Gaucher, mercredi soir, face au Rousseau-Royal de Laval-Montréal, les Gaulois concluront leur calendrier régulier sur les patinoires adverses au cours de la fin de semaine en affrontant les Grenadiers de Châteauguay vendredi soir et le Phénix du Collège Esther-Blondin dimanche après-midi. Au terme de cette séquence de trois matchs en cinq jours, une seule petite journée de congé les attendra avant de passer en séries éliminatoires.
Au moment de mettre sous presse, il était encore trop tôt pour savoir quelle équipe allait croiser le fer avec les Gaulois en première ronde des séries. Plusieurs changements au classement étaient toujours possibles. Avant la rencontre de mercredi soir, dont le résultat n’était pas connu avant notre heure de tombée, Saint-Hyacinthe pointait en 11e place sur 15 équipes. L’équipe accusait deux points de retard sur le Blizzard du Séminaire Saint-François et trois sur l’Intrépide de Gatineau.
La troupe de Marc-André Ronda a peiné à l’emporter récemment, même si plusieurs de leurs matchs ont été serrés. Samedi, à Québec, les Gaulois ont encaissé un quatrième revers consécutif en s’inclinant par la marque de 4 à 3 en prolongation face au Blizzard du Séminaire Saint-François, avec qui ils luttent au classement. Ils ont échappé une avance de 3 à 1 acquise en début de 3e période pour voir la victoire leur glisser entre les doigts.
Quelques jours plus tôt, le 9 mars, la formation maskoutaine avait lutté ardemment face aux Lions du Lac Saint-Louis, mais avait tout de même baissé pavillon 3 à 2.
Parmi les points positifs à tirer de ces deux rencontres, les unités spéciales ont fait preuve d’opportunisme alors que trois des cinq buts des Gaulois ont été inscrits en avantage numérique. Deux d’entre eux sont l’affaire de l’attaquant Fernand-Olivier Perron, qui a trouvé son nom sur la feuille de pointage à chacun de ces matchs.