2 mars 2023 - 07:00
Saint-Eugène-de-Grantham
Un Maskoutain perd la vie dans un accident de la route
Par: Adaée Beaulieu
Jean-Luc Vallières, un Maskoutain de 65 ans, a perdu la vie dans un accident de la route, le 28 février, à Saint-Eugène-de-Grantham. Photo Éric Beaupré / Vingt55�

Jean-Luc Vallières, un Maskoutain de 65 ans, a perdu la vie dans un accident de la route, le 28 février, à Saint-Eugène-de-Grantham. Photo Éric Beaupré / Vingt55

Un accident de la route survenu à Saint-Eugène-de-Grantham, dans la soirée du 28 février, a coûté la vie au Maskoutain Jean-Luc Vallières, âgé de 65 ans.

Après avoir perdu le contrôle de sa voiture, l’homme n’a eu aucune chance et a été happé de plein fouet latéralement par une camionnette qui arrivait en sens inverse sur le rang de l’Église, aussi appelé route 239.

M. Vallières était dans un état critique lorsque les ambulanciers sont arrivés sur les lieux. Il a été transporté au centre hospitalier, où son décès a été constaté.

Avec des averses de neige soutenues au moment de l’accident, la visibilité réduite pourrait être un facteur qui a causé la perte de contrôle du véhicule, selon les premières observations des autorités. Le conducteur de la camionnette, un homme âgé de la cinquantaine, n’a subi que des blessures mineures.

La fille de Jean-Luc Vallières, Sabrina, lui a rendu en vibrant hommage sur sa page Facebook. « C’est fou comment la vie peut basculer du jour au lendemain. 28 février 2023, pire journée de mes 26 ans d’existence. J’ai perdu une de mes personnes les plus chères. Mon père. 65 ans, encore si jeune, en pleine forme et tellement de projets. La vie m’a enlevé mon père sans même que je puisse lui dire au revoir », a-t-elle écrit.

« Papa, la vie est tellement injuste. Tu venais de prendre ta retraite avec maman. Enfin, vous alliez pouvoir profiter de plusieurs moments mérités derrière tant d’années travaillées durement », a-t-elle poursuivi en soulignant sa joie de vivre et son positivisme.

« Je ne réalise pas encore ce que je vis en ce moment. J’aimerais tant me réveiller et savoir que c’était un cauchemar. Je pensais t’avoir près de moi jusqu’à tes 100 ans au moins, comme on le disait. C’est tellement un gros vide sans toi. […] J’aurais aimé te serrer une dernière fois dans mes bras et te dire à quel point que je t’aime. »

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