« Le premier bilan en 2021 était un bilan de réalisations très important. On avait vraiment débuté en force même s’il y avait de gros défis comme la gestion de la COVID-19. Ça avait bien mis la table pour l’année 2022. Sans surprise, le bilan est encore très positif. C’est un bilan marqué par la continuité », affirme la technicienne en environnement, Lysiane Chagnon-Fontaine.

Le plan d’action se décline en 23 objectifs et 53 actions à réaliser d’ici 2025. Plus du tiers de ces actions ont été réalisées au terme de la deuxième année. Celles en cours de réalisation représentent près de la moitié des actions ciblées. Parmi les faits saillants, la Ville a mis à la disposition de la population une station d’eau potable au parc Casimir-Dessaulles, a resserré le règlement sur l’utilisation de l’eau potable, a adopté un programme de subvention pour les produits écologiques, a instauré un fonds vert et a formé un comité consultatif en développement durable.

« Pourquoi a-t-on autant d’actions en cours? On a de grands chantiers majeurs dans notre plan qui comportent plusieurs étapes comme une planification et une concertation. Ce sont des projets qui peuvent s’étendre sur plusieurs mois et années. Ils sont mobilisateurs. On parle davantage d’un horizon vers la fin du plan de développement durable [prévue en 2025] », poursuit Mme Chagnon-Fontaine.

Ces grands chantiers englobent, entre autres, le prolongement du réseau cyclable, puis la révision du plan et des règlements d’urbanisme.

« Notre plus grand souhait serait qu’en 2040, Saint-Hyacinthe soit une technopole agroalimentaire verte par excellence qui, par son leadership et son innovation, cultive son rayonnement international et offre un milieu de vie distinctif et accessible à tous. Le conseil veut s’engager dans un avenir durable et on fait des gestes concrets dans ce sens », conclut le maire de Saint-Hyacinthe, André Beauregard.