Le CSSSH n’a pas voulu confirmer combien de postes cela représentait, mais selon nos informations, trois personnes sont touchées par cette décision. Elles occupaient des remplacements de psychoéducateur ou étaient responsables d’un mandat spécifique. Elles ont été avisées le 30 juin qu’on ne les réembauchait pas pour l’année scolaire 2024-25.
« Chaque année, il y a un processus d’affectation pour les postes de professionnels. Le CSSSH valide s’il y a des budgets. Comme les besoins évoluent, le plan d’affectation des professionnels peut évoluer d’une année à l’autre. C’est assez récent qu’on a des travailleurs sociaux dans les écoles primaires », a expliqué la porte-parole du CSSSH, Stéphanie Trudel, peu avant sa démission.
Mme Trudel a précisé que les contrats se sont simplement terminés sans être renouvelés. Les équipes de travailleuses sociales dans les écoles secondaires, quant à elles, demeurent en place.
Malgré tout, en date du 21 juin, cinq postes de psychoéducateurs étaient à pourvoir. En cohérence avec les besoins exprimés par le milieu, a assuré Mme Trudel.
Le Syndicat des professionnelles et professionnels de l’éducation pour les régions de Richelieu et Yamaska (SPPERY-CSQ) n’a pas souhaité commenter la décision et nous a demandé de communiquer avec le CSSSH pour obtenir davantage d’informations.