• Pendant que la Municipalité de Saint-Liboire essaie encore de convaincre la Caisse Desjardins de la Région de Saint-Hyacinthe, ou n’importe quelle grande banque, d’installer un guichet automatique sur son territoire, les membres maskoutains seront heureux d’apprendre que le centre de services Desjardins Douville est là pour rester… du moins encore un peu. L’institution financière a renouvelé à la fin septembre le bail qui la lie au Groupe Jean Coutu, propriétaire de l’immeuble du boulevard Laurier Ouest. Elle a exercé son option de renouvellement jusqu’au 31 mars 2028.
• On connaît maintenant les circonstances qui ont amené la propriétaire de la boutique Douceur Maternelle à fermer ses portes début octobre au centre-ville de Saint-Hyacinthe. Un avis de faillite a été déposé par le syndic Raymond Chabot la semaine dernière, laissant des créances impayées d’un peu plus de 100 000 $ à l’endroit d’une quinzaine de créanciers.
• Les Maskoutains semblent plus chauds à l’idée d’abolir le changement d’heure que la vaste majorité des Québécois, s’il faut en croire les résultats de notre question de la semaine du 24 au 30 octobre et ceux d’un sondage Léger-Le Journal de Montréal réalisé au même moment. Dans notre sondage non scientifique, 379 répondants ont voté en faveur de l’heure unique à l’année dans une proportion de 80 %, comparativement à 69 % dans l’autre coup de sonde où une large majorité des répondants ont opté pour conserver l’heure d’été. Nous n’avons pas poussé la curiosité jusqu’à demander à nos lecteurs de choisir entre l’heure d’hiver et d’été.
• Parlant de nos lecteurs qui donnent l’heure juste, Yves Frenette, en bon conducteur prudent et avisé, n’a pas tardé à rebondir sur notre pot de la semaine dernière concernant la dangereuse configuration de la sortie/entrée Pinard, de l’autoroute 20. Il dit constater qu’il y avait moins d’accidents et de garde- fou endommagés quand des panneaux d’arrêt étaient en place. Il prône donc le retour en force d’un irritant qui avait son utilité en ralentissant les ardeurs des automobilistes, même de ceux qui ne les respectaient pas trop.