Cette blague circule sur Internet depuis un moment déjà pour se moquer des gens qui votent pour quelque chose en pensant que ça ne leur arriverait jamais et qui en subissent ensuite les conséquences. Elle fut inspirée au départ par le fait divers, en Angleterre, d’une femme qui avait voté pour un parti prônant l’austérité et les coupes draconiennes dans les programmes sociaux et qui s’était ensuite plainte publiquement… de l’austérité et des coupes draconiennes dans les programmes sociaux qui ruinaient sa vie.
Aujourd’hui, cette blague reprend de la vigueur pour ironiser sur la surprise de certains électeurs qui ont voté pour expulser des millions d’immigrants, freiner l’inflation en imposant des tarifs et couper dans les dépenses de l’État et qui se plaignent maintenant que leurs proches risquent maintenant l’expulsion, que les tarifs imposés aux autres pays vont leur être refilés par les compagnies et faire exploser l’inflation et que l’aide de l’État ne sera plus là quand ils en auront besoin.
Au fond, cette farce n’est qu’une version moderne du vieux proverbe : « La forêt diminuait, mais les arbres continuaient de voter pour la hache, car la hache était rusée et avait convaincu les arbres que, son manche étant en bois, elle était l’un d’eux. »
Alors si vous êtes un arbre, évitez de voter pour les haches et si vous avez un visage, ne votez surtout pas pour le Parti des léopards qui mangent les visages. Bref, attention à ce que vous souhaitez, car cela pourrait vous arriver.