Comme vous pouvez le lire dans cette édition du COURRIER, le récent passage de l’humoriste Julien Lacroix au Centre des arts Juliette-Lassonde de Saint-Hyacinthe n’a pas fait que des heureux. Des graffitis ont fait leur apparition sur les murs de l’établissement dans les heures précédant sa prestation. Visé par des dénonciations d’inconduite sexuelle à l’été 2020, il n’a pourtant jamais été accusé de rien ni subi de procès. La justice populaire fait pourtant son œuvre, mais pas nécessairement œuvre utile dans ce cas. Surtout quand on exprime son point de vue anonymement en vandalisant des immeubles. Le dernier mot appartient au grand public, il reste le meilleur juge.
17 avril 2025 - 03:00
Le pot
À des graffitis

