S’il y a, à Saint-Hyacinthe, abondamment de gens qui ont le cœur sur la main, on trouve aussi quelques sans-cœur. Parmi les histoires récentes révoltantes qui ont attiré mon attention, que dire des entrées par effraction et des vols commis à l’égard des sinistrés d’un immeuble incendié de l’avenue Pagé en mars dernier. Les mots me manquent pour traduire tout mon dégoût envers le ou les responsables qui ont osé s’introduire dans l’immeuble et les logements en rénovation pour faire main basse sur des biens entreposés et de la nourriture. Il faut être bien mal pris ou être assez misérable pour faire cela.
18 avril 2024 - 03:00
Le pissenlit
À des sans-cœur