La grève et le conflit de travail qui s’étirent à Postes Canada ne sont pas sans effets désagréables. Entre autres pour les groupes de presse comme DBC Communications qui doivent faire des pieds et des mains pour distribuer leurs journaux chaque semaine. Les postiers considèrent à tort nos publications comme de simples circulaires. Ces perturbations du service postal pourraient même compromettre la bonne marche des prochaines élections municipales, en empêchant la distribution des cartons d’avis électoraux, si le tout devait s’étirer davantage. Tout compte fait, il est bien difficile d’avoir de la sympathie pour les postiers en ce moment. Disons qu’ils ne s’aident pas trop.