La Ville de Saint-Hyacinthe a décidé de cesser la publication d’avis public dans LE COURRIER entre autres parce qu’ils sont trop souvent complexes, mais elle ne se soucie guère de la transparence en adoptant ses propres résolutions en séance publique. Si un conseiller n’avait pas voté contre la subvention au Cinéma Maska, jamais ceux et celles qui ont suivi l’assemblée n’auraient su que cette entente de cinq ans prévoit le versement d’une aide potentielle de 500 000 $. Ce n’est pourtant pas un détail anodin. C’est le genre de considérant que l’on aurait pu ajouter à la résolution.