Cas vécu. Une journaliste du COURRIER fait quelques entrevues dans le but d’écrire un reportage traitant d’un dossier municipal. La nouvelle est publiée et la direction de la municipalité concernée est particulièrement satisfaite. La journaliste reçoit un appel provenant du bureau municipal pour lui demander une copie de l’article en question. La journaliste s’exécute, au lieu de suggérer à la personne de se rendre au dépanneur le plus près pour acheter le journal. Tout le monde il est content? Pas moi. Je m’étonne encore que des municipalités de la MRC des Maskoutains ne prennent pas la peine de s’abonner au COURRIER. C’est un non-sens.
15 août 2024 - 03:00
Le pissenlit
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