Un troisième verdict d’acquittement a été rendu récemment au palais de justice de Saint-Hyacinthe où l’homme de 41 ans devait répondre d’accusations d’agression sexuelle et de contact sexuel sur un adolescent, des gestes remontant au début des années 2000.
Constatant des contradictions de part et d’autre dans les témoignages du plaignant et de son présumé agresseur, le juge Richard Marleau, de la Cour du Québec, a fait valoir qu’un doute raisonnable sur la culpabilité de l’accusé avait pu être établi. Des issues identiques ont mis fin aux deux autres procès impliquant Éric Tremblay.
Il y a quelques jours à peine, toujours à Saint-Hyacinthe, il avait été acquitté d’accusations d’agression sexuelle, d’attouchement et d’incitation à des contacts sexuels à l’endroit d’un adolescent d’un centre jeunesse où l’accusé occupait un poste d’agent d’intervention au début des années 2000.
Puis, au palais de justice de Sorel au printemps dernier, Tremblay avait également bénéficié de la clémence du juge au terme d’un premier procès où il était accusé de possession de pornographie juvénile et de leurre informatique à l’endroit d’un adolescent de 16 ans, pour des gestes remontant à 2019.