Même si mon nom figure sur deux listes d’attente de concessionnaires maskoutains plutôt qu’une, dans l’espoir d’obtenir une voiture électrique, je n’ai pas ragé contre la décision du gouvernement d’abolir progressivement le programme Roulez vert. En voyant ce qui se passe sur le terrain avec la gestion de ces listes et l’utilisation de ces rabais par certains propriétaires qui l’empochent et s’empressent de revendre leur véhicule, je me dis qu’un changement s’imposait. Je suis dans le camp de ceux qui croient que les constructeurs devront ajuster leurs prix ou accélérer la production des versions moins luxueuses.