Le retour en classe des élèves du premier cycle et de l’adaptation scolaire est prévu pour le 31 janvier, pour une seule et unique journée. Suivront uniquement les élèves du second cycle (de la troisième à la cinquième secondaire) le lendemain, selon le plan présenté par la Commission scolaire de Saint-Hyacinthe (CSSH).
Le retour en classe des élèves de tous les niveaux ne pourra donc se faire avant le lundi 4 février selon le meilleur des scénarios. « Une réintégration partielle s’avère essentielle pour nous permettre de bien expliquer aux élèves les changements nécessaires et leur permettre de s’approprier le nouveau fonctionnement de l’école, notamment quant à la circulation dans l’école, la relocalisation de certains groupes et l’organisation des périodes de transition », a mentionné la CSSH dans une lettre adressée aux parents.
Il est toutefois assuré que l’agora où se trouvent les casiers des élèves demeurera inaccessible pendant encore plusieurs semaines. À cet effet, les élèves doivent obligatoirement récupérer leurs effets personnels et vider leur casier en se présentant sur place aujourd’hui vendredi (entre 10 h et 19 h) ou demain samedi (entre 9 h et 12 h). Puisque l’agora et la mezzanine devront faire l’objet d’une réfection majeure, les élèves ne pourront plus y manger avant quelques semaines. Le service de traiteur sera suspendu et les élèves seront invités à apporter un lunch froid. Rappelons que les cours sont suspendus à l’école Casavant depuis le lundi 21 janvier. « Notre préoccupation est actuellement d’accueillir les élèves et le personnel dans un environnement sain et sécuritaire et de rétablir le plus rapidement les services éducatifs dispensés aux élèves, afin de favoriser leur réussite scolaire », précise la CSSH.
Une fenêtre laissée ouverte aurait provoqué le bris d’une conduite d’eau qui a causé de lourds dommages au bâtiment. « Il s’agit pour nous d’un incident sans précédent », laisse entendre la CSSH, qui doit tenir une conférence de presse lundi prochain en fin de journée.
Plus de détails dans LE COURRIER du 31 janvier.