14 septembre 2017 - 00:00
La rentrée scolaire VIP
De jeunes étudiants sont retournés en classe l’esprit tranquille
Par: Marie-Pier Leboeuf
Le Carrefour Chrétien des Maskoutainsa distribué plus de 250 sacs à dos personnalisés pour permettre à des étudiants de familles plus démunies d’avoir une rentrée scolaire VIP.    Photo François Larivière | Le Courrier ©

Le Carrefour Chrétien des Maskoutainsa distribué plus de 250 sacs à dos personnalisés pour permettre à des étudiants de familles plus démunies d’avoir une rentrée scolaire VIP. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Le Carrefour Chrétien des Maskoutainsa distribué plus de 250 sacs à dos personnalisés pour permettre à des étudiants de familles plus démunies d’avoir une rentrée scolaire VIP.    Photo François Larivière | Le Courrier ©

Le Carrefour Chrétien des Maskoutainsa distribué plus de 250 sacs à dos personnalisés pour permettre à des étudiants de familles plus démunies d’avoir une rentrée scolaire VIP. Photo François Larivière | Le Courrier ©

La 6e édition de la Rentrée VIP a connu un franc succès. Encore plus nombreux cette année, ce sont quelque 250 enfants défavorisés du primaire qui ont bénéficié d’un nouveau sac à dos rempli de matériel scolaire pour le début des classes.


À quelques jours d’entendre sonner la première cloche de l’année scolaire, les bénévoles du Carrefour Chrétien des Maskoutains avaient encore une fois mis la main à la pâte pour remettre un sac à dos à un maximum d’étudiants de la MRC des Maskoutains provenant d’une famille démunie. C’est d’ailleurs ce qui marque une année record pour l’organisme. 

Crayons, feuilles mobiles, cartables ou cahiers sont quelques exemples de ce que l’on peut retrouver dans chacun des sacs personnalisés d’une valeur approximative de 100 $. Tous les enfants inscrits à ce privilège ont pu se griffer d’un sac à leur image. « Rien n’est usagé, c’est juste du neuf. C’est grâce à tous les donateurs et aux dons des entreprises que nous pouvons aider autant de jeunes », a remercié le pasteur Guy Gosselin. 

Depuis six ans, l’initiative de M. Gosselin a démontré un besoin très présent dans la région maskoutaine chez les familles moins nanties. « Il y a un besoin énorme, a-t-il lancé au bout du fil. Quand tout le monde se donne la main, nous sommes capables d’égayer la vie d’un enfant. Ces jeunes-là n’ont pas toujours hâte de retourner à l’école, mais quand ils sortent d’ici ils sont fiers parce que ce sont des familles démunies qui ne sont pas habituées d’avoir du nouveau. Ils sortent avec un gros sourire et en nous disant merci. »

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