Les écoles concernées sont aux Quatre-Vents à Saint-Jude, Roméo-Forbes à Saint-Hyacinthe et Saint-Jean-Baptiste à Roxton Falls. Pour sa part, l’école Douville fait partie du projet pour la deuxième année consécutive.
C’est d’ailleurs en raison des résultats positifs de la première année du projet pilote que le ministère de l’Éducation a décidé de l’implanter dans d’autres écoles comme prévu. Ce sont 100 établissements scolaires qui ont pu bénéficier de ce service en 2022-2023 et 100 nouveaux s’ajoutent pour l’année 2023-2024. L’objectif global du gouvernement est d’augmenter de 4000 le nombre d’aides à la classe.
Pour ce qui est des nouvelles écoles participantes du CSSSH, les postes seront affichés sous peu pour recruter deux aides à la classe pour chacune. L’objectif est qu’elles commencent à travailler à la mi-septembre à raison de 35 heures par semaine.
Plus spécifiquement, par ce projet pilote, le ministère de l’Éducation désire que les enseignants maximisent le temps consacré à l’enseignement. Les aides à la classe sont des membres du personnel de soutien. Il s’agit, entre autres, de membres du personnel des services de garde et de techniciens en éducation spécialisée.
« Ce projet pilote a déjà fait ses preuves. On m’en parle dans toutes mes visites d’écoles. Les aides à la classe sont appréciées dans le milieu scolaire et bénéficient autant aux enseignants qu’aux élèves. Je souhaite que nous ayons éventuellement des aides à la classe dans la vaste majorité des classes du préscolaire et du primaire public au Québec. C’est une formule gagnante pour tout le monde, qui valorise le travail du personnel de soutien, tout en permettant aux enseignantes et aux enseignants de se consacrer à leurs tâches pédagogiques », a déclaré le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville.