Le projet « Ma vie en photos-vidéo » met en lumière le parcours d’immigration de cinq nouveaux arrivants ou familles de nouveaux arrivants, de leur vie dans leur pays d’origine jusqu’à leur implantation et leur intégration dans la communauté maskoutaine.

« Il y a trois ans, nous avions eu le mandat du Ministère de réaliser un diagnostic sur la situation de l’immigration dans la région et d’identifier certains facteurs qui pouvaient soutenir l’intégration des nouveaux arrivants après leur arrivée dans notre milieu. Il est notamment ressorti l’importance de faciliter le rapprochement culturel entre ceux-ci et leur communauté d’accueil en sensibilisant la population maskoutaine aux parcours migratoires des nouveaux arrivants dans la région. Voilà pourquoi nous avons choisi, par ce projet, de faire ressortir l’histoire et le bagage culturel de nouveaux Maskoutains issus de l’immigration », a expliqué Ana Luisa Iturriaga, directrice à l’immigration chez Saint- Hyacinthe Technopole.

D’abord destiné à être une exposition de photos présentant de nouveaux arrivants dans leur pays d’origine, au moment de leur arrivée dans la région, puis dans leur contexte de vie actuel, le projet s’est transformé en format vidéo compte tenu de la situation liée à la pandémie.

« Nous avons eu une superbe collaboration avec les familles participantes qui ont été généreuses de leur temps et ont accepté de s’ouvrir sur leur situation personnelle pour la réalisation de ces capsules. Elles ont démontré un fort sentiment d’appartenance à la communauté maskoutaine et une réelle reconnaissance pour l’accueil qu’elles ont reçu ici. Leur parcours est inspirant et nous sommes convaincus que leurs histoires permettront à ceux qui visionneront les vidéos d’avoir une meilleure idée de ce que peut représenter un parcours d’immigration », a ajouté Claudia Mansilla, agente à la régionalisation et à l’immigration, qui a coordonné le projet.

Les vidéos peuvent être visionnées à partir du site Internet de Saint-Hyacinthe Technopole (section Immigration) ou encore sur le canal YouTube de l’organisme.