« Cette certification atteste des efforts considérables déployés pour rendre cette nouvelle école non seulement fonctionnelle, mais également bénéfique pour la santé mentale et physique des personnes qui la fréquentent. Dès le début de la conception du projet de construction en 2020, nous avons pris des mesures significatives pour garantir que l’environnement respecte les plus hauts standards en matière de confort et de bien-être », explique le directeur du Service des ressources matérielles du CSSSH, Jean-François Soumis.
Le gouvernement du Québec a donné un budget de 31,3 M$ pour construire cette école. Le CSSSH assure qu’une école WELL ne coûte pas plus cher. Étant donné que les budgets de construction octroyés par Québec sont fixes, le CSSSH a simplement guidé les professionnels pour que la conception mette l’accent sur le bien-être des occupants, nous explique-t-on.
Le coût de la certification WELL représente 0,16 % des coûts de construction, donc 48 600 $ dans ce cas-ci. Le coût de la certification comprend, entre autres, les honoraires d’accompagnement pour la mise en place de mesures respectant les standards exigés.
La certification WELL est un programme international, reconnu depuis une dizaine d’années. L’objectif est de favoriser le confort, l’ergonomie, la productivité, la santé et le bien-être des usagers.
« C’est un pur bonheur pour toute l’équipe éducative et les élèves de l’école d’évoluer dans un environnement novateur et réfléchi afin que chacun puisse s’y épanouir de façon saine et accueillante », mentionne la directrice de l’école, Marie-Ève Fournier.
Le CSSSH construira une nouvelle école dans le secteur Saint-Joseph à Saint-Hyacinthe et poursuit la construction de l’agrandissement de l’école Bois-Joli qui devrait se terminer pour la rentrée 2025.
« Ce projet de grande envergure a permis aux membres du personnel du Service des ressources matérielles de développer une nouvelle expertise. Ces acquis se refléteront assurément dans les prochains chantiers du CSSSH, avec l’objectif d’améliorer la qualité de ses établissements », mentionne la porte-parole du CSSSH, Émilie Laramée.