26 octobre 2017 - 00:00
Entre le jazz et Andrea
Par: Olivier Dénommée
Andrea Lindsay, qui s’est découvert une passion pour le français à l’âge de 18 ans, ne cesse jamais son apprentissage de la langue à travers ses chansons coup de cœur. « Je suis encore comme une enfant en français, ça m’émerveille toujours autant », lance-t-elle.  Photo Robert Gosselin | Le Courrier ©

Andrea Lindsay, qui s’est découvert une passion pour le français à l’âge de 18 ans, ne cesse jamais son apprentissage de la langue à travers ses chansons coup de cœur. « Je suis encore comme une enfant en français, ça m’émerveille toujours autant », lance-t-elle. Photo Robert Gosselin | Le Courrier ©

Andrea Lindsay, qui s’est découvert une passion pour le français à l’âge de 18 ans, ne cesse jamais son apprentissage de la langue à travers ses chansons coup de cœur. « Je suis encore comme une enfant en français, ça m’émerveille toujours autant », lance-t-elle.  Photo Robert Gosselin | Le Courrier ©

Andrea Lindsay, qui s’est découvert une passion pour le français à l’âge de 18 ans, ne cesse jamais son apprentissage de la langue à travers ses chansons coup de cœur. « Je suis encore comme une enfant en français, ça m’émerveille toujours autant », lance-t-elle. Photo Robert Gosselin | Le Courrier ©

Depuis 2006, Andrea Lindsay affirme son amour pour la francophonie, chantant presque exclusivement dans la langue de Molière. Puis, en 2016, elle a aussi décidé d’assumer sa passion pour le jazz, faisant appel à Jordan Officer pour réaliser Entre le jazz et la java, qu’elle fait découvrir en spectacle à travers la province depuis près d’un an.


Sur scène, l’auteure-compositrice-interprète d’origine ontarienne s’entoure de trois musiciens, dont l’ancien professeur de guitare de Jordan Officer, Mike Rud, interprétant certaines des plus belles chansons françaises à la sauce jazz. « À part les chansons de l’album, il y en a d’autres que je n’ai pas pu endisquer, mais aussi certaines de mes propres chansons jazzifiées », explique Andrea Lindsay, mentionnant « On n’est pas là pour se faire engueuler » de Boris Vian et « Les yeux de Marie », son premier succès en français.
Des idées qui mijotent
Pourtant, bien qu’Andrea Lindsay ait longtemps été associée à un style plus pop et folk, son passage au jazz n’est pas, pour elle, un changement d’univers complet. C’était surtout « une traite » qu’elle se payait, avant de revenir dans son registre habituel. « J’ai eu beaucoup de plaisir à faire cet album et cette tournée… il ne faut jamais dire jamais », répond-elle lorsqu’on lui demande si Entre le jazz et la java était plus une parenthèse qu’un virage.
Les idées ne manquent pas à Andrea Lindsay, qui « commence à avoir assez de chansons pour un nouvel album solo », mais qui discute de plus en plus à un autre album en duo avec son conjoint Luc De Larochellière, qui ferait donc suite à C’est d’l’amour ou c’est comme, paru en 2012. Ses projets se préciseront à coup sûr en 2018.
D’ici là, Andrea Lindsay propose de profiter du moment avec elle et ses musiciens ce samedi 28 octobre à 20 h 30 à l’Espace Rona du Centre des arts Juliette-Lassonde. « Ça va être une belle soirée. À quatre sur scène, ça peut être intime comme ça peut être vivant! On va s’amuser et je pense que ça va se sentir dans la salle », promet-elle. 

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