8 avril 2022 - 14:18
Le Courrier de Saint-Hyacinthe
Fidèle au rendez-vous depuis 170 ans
Par: Le Courrier
Benoit Chartier, propriétaire et éditeur

Benoit Chartier, propriétaire et éditeur

Martin Bourassa, rédacteur en chef et éditorialiste

Martin Bourassa, rédacteur en chef et éditorialiste

Annie Blanchette, adjointe à la rédaction

Annie Blanchette, adjointe à la rédaction

Jérémy Bezeau, journaliste

Jérémy Bezeau, journaliste

Sarah-Eve Charland, journaliste

Sarah-Eve Charland, journaliste

Maxime Prévost-Durand, journaliste

Maxime Prévost-Durand, journaliste

Eliane Tremblay-Moreau, journaliste

Eliane Tremblay-Moreau, journaliste

Sarah Villemaire, journaliste

Sarah Villemaire, journaliste

La parution du Courrier de Saint-Hyacinthe n’est pas banale cette semaine puisque cette édition en est une anniversaire. Et pas n’importe lequel. Votre journal célèbre cette semaine ses 170 ans de fondation.

LE COURRIER devient le tout premier journal francophone d’Amérique à atteindre cet âge vénérable et à pouvoir se vanter d’avoir été au rendez-vous de ­façon continue toutes les semaines depuis sa création en 1853. Oui, l’hebdomadaire maskoutain est plus âgé que les quotidiens La Presse (1884) et Le Devoir (1910) ou l’hebdomadaire Le Canada Français (1860) à Saint-Jean-­sur-Richelieu. « Le Courrier de Saint-Hyacinthe consolide son titre de doyen des journaux français d’Amérique sans prendre une seule ride », souligne dans un mélange de fierté et d’humour, son propriétaire et éditeur Benoit Chartier, président de DBC Communications, un groupe de presse indépendant.

Comment expliquer ce succès et cette longévité que rien ni personne n’a pu ébranler, même pas les guerres, les crises économiques, les catastrophes naturelles, les pandémies et les révolutions technologiques? « LE COURRIER a toujours réussi à demeurer un journal bien de son temps, pertinent et ancré dans la ­réalité et les besoins de son milieu. Il n’y a pas de recette ­magique pour faire un bon journal et perdurer dans le temps. Il faut prioriser encore et toujours l’information de qualité et entretenir une relation de proximité avec le lecteur qui cherche à s’informer et à réfléchir sur des enjeux locaux et régionaux qui l’intéressent et le concernent. C’est le plus stimulant des défis », résume M. Chartier, en insistant sur l’extraordinaire séquence de ce journal qui n’a pas manqué un seul rendez-vous hebdomadaire avec ses lecteurs depuis sa création le siècle dernier.

« C’est un fait d’armes incroyable quand on y pense et quand on prend le temps de s’arrêter à toutes les crises et les périodes troubles que nous avons connues au Québec depuis le milieu des années 1850. Beau temps mauvais temps, LE COURRIER n’a jamais laissé tomber ses fidèles lecteurs et annonceurs et ceux-ci le lui rendent bien. » Posséder un journal aussi prestigieux est un privilège, estime Benoit Chartier.

« Avec ce grand privilège viennent de grandes ­responsabilités. Nos lecteurs ont de grandes ­attentes et, en cette ère de désinformation, il nous faut ­redoubler d’ardeur pour leur offrir des informations crédibles, vérifiées, complètes et pertinentes. Nous demeurons une référence au chapitre de l’information régionale, un média incontournable. Pour le rester, nous n’hésitons pas à nous renouveler, à nous réinventer et à nous remettre en question. Il faut rester dans le coup et nous assurer de rejoindre nos lecteurs par tous les moyens mis à notre disposition, que ce soit à travers le journal papier, notre site Internet et même les réseaux sociaux. »

Au cours de cette 170e année qui s’amorce, les lecteurs et annonceurs du COURRIER auront l’occasion de prendre toute la mesure de cette évolution constante à laquelle est confronté le doyen des journaux francophones d’Amérique.

« Plusieurs chantiers sont amorcés à l’interne afin de consolider encore davantage notre leadership et notre image de marque dans le secteur de l’information. LE COURRIER n’a pas fini de surprendre et d’alimenter la flamme allumée par les pionniers d’hier. Nous continuerons de la porter bien haute et de la faire briller longtemps grâce au travail inlassable de nos artisans. Je m’en voudrais de ne pas saluer la passion, l’engagement et le professionnalisme de ces gens qui m’entourent et qui donnent vie à nos publications. Ensemble, nous mettons le cap vers les célébrations des 175 ans! », conclut avec assurance le capitaine du ­Courrier de Saint-Hyacinthe et de DBC Communications.

Éduquer le grand public pour lutter contre la désinformation

Alors que la désinformation fait des ravages sur les réseaux-sociaux, il est crucial de rappeler que les médias et les journalistes sont soumis à des règles strictes d’éthique et de déontologie. Ils s’engagent donc à ne livrer que des informations vraies afin de défendre les intérêts du public.

Le Courrier de Saint-Hyacinthe : partenaire essentiel de votre quotidien Les journaux imprimés ainsi que leurs sites Internet et leurs réseaux sociaux occupent une place importante dans le quotidien des collectivités de partout à travers le monde. Le Courrier de Saint-Hyacinthe souhaite rappeler le rôle indispensable des journaux locaux auprès de la population.

SOURCES D’INFORMATIONS CRÉDIBLES

Les fausses nouvelles et la désinformation sont particulièrement présentes depuis quelques années déjà. Les journaux veillent à ce que chaque sujet traité soit rédigé à partir d’informations vraies et vérifiées afin de combattre les différentes entités qui partagent des faits erronés ou incorrectement contextualisés. Ils ont également l’avantage d’exister depuis longtemps et sont composés d’une équipe qualifiée et rigoureuse, ce qui contribue à augmenter la confiance que de nombreux Québécois et Canadiens leur portent.

VITRINES POUR LES COMMUNAUTÉS

Les journaux locaux s’assurent de traiter des sujets diversifiés qui touchent directement les résidents des secteurs environnants. Ils contribuent à la vitalité des communautés en abordant des problématiques locales qui peuvent, selon la situation, concerner ­certaines minorités de personnes. Ils sont aussi le véhicule de publicités qui mettent en lumière les produits et services des entreprises d’ici.

ÉQUIPES MULTIDISCIPLINAIRES

Outre les journalistes, les éditeurs, les graphistes, les conseillers publicitaires et bien d’autres, les journaux bénéficient grandement du travail des camelots et des distributeurs afin de transmettre l’information directement auprès de la population. Plus que jamais, les journaux sont essentiels pour livrer de l’information de qualité et promouvoir les entreprises. Encouragez les initiatives proposées dans votre région pour soutenir vos journaux locaux!

La force d’une équipe!

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