Voilà qu’après quelques semaines, ma liste se raccourcit chaque jour. J’admets que la motorisation est plus vive et dynamique que je m’y attendais. Je me suis aussi habitué au look brun foncé monochrome de la carrosserie et de l’habitacle.
J’en apprécie le confort, le silence de roulement et la grande maniabilité. Évidemment, me direz-vous, je l’ai conduite dans des conditions idéales, à température idéale et dans les meilleures conditions.
J’ai eu l’occasion de l’amener au boulot, de la traîner au centre-ville montréalais, de parcourir les routes sinueuses des Laurentides et les plats rangs de la région maskoutaine, seul et en famille. Chaque fois, je me suis surpris à aimer un peu plus le RDX.
J’admets que je ne suis pas encore totalement comblé de son tableau de bord surchargé, et que même après plusieurs semaines, je continue de chercher les boutons nécessaires pour changer ma station de radio par exemple. Le tout fait un peu vieillot, dans un emballage autrement plus moderne.
Pour le moment, je fais une pause de RDX, le véhicule étant en réparation pour un très léger accrochage (entre moi et un coin de plafond en ciment). Dès que je le récupère, je serai mieux en mesure d’évaluer ce qu’il vaut dans le froid. J’avoue cependant que ma liste de préjugés descend à vue d’oeil.