31 mai 2012 - 00:00
Conciliation travail-famille
La MRC engagée plus que jamais
Par: Le Courrier
La préfet de la MRC Les Maskoutains, Francine Morin, maire de Saint-Bernard-de-Michaudville, a signé la Déclaration en faveur de la famille en présence de Raymonde Plamondon, mairesse de Saint-Valérien-de-Milton et présidente de la Commission permanente de la famille, Arthur Fauteux, maire de Cowansville et président de la CRÉ de la Montérégie Est et Nicole Laverdière, directrice générale de la Chambre de commerce et de l'industrie Les Maskoutains.

La préfet de la MRC Les Maskoutains, Francine Morin, maire de Saint-Bernard-de-Michaudville, a signé la Déclaration en faveur de la famille en présence de Raymonde Plamondon, mairesse de Saint-Valérien-de-Milton et présidente de la Commission permanente de la famille, Arthur Fauteux, maire de Cowansville et président de la CRÉ de la Montérégie Est et Nicole Laverdière, directrice générale de la Chambre de commerce et de l'industrie Les Maskoutains.

La préfet de la MRC Les Maskoutains, Francine Morin, maire de Saint-Bernard-de-Michaudville, a signé la Déclaration en faveur de la famille en présence de Raymonde Plamondon, mairesse de Saint-Valérien-de-Milton et présidente de la Commission permanente de la famille, Arthur Fauteux, maire de Cowansville et président de la CRÉ de la Montérégie Est et Nicole Laverdière, directrice générale de la Chambre de commerce et de l'industrie Les Maskoutains.

La préfet de la MRC Les Maskoutains, Francine Morin, maire de Saint-Bernard-de-Michaudville, a signé la Déclaration en faveur de la famille en présence de Raymonde Plamondon, mairesse de Saint-Valérien-de-Milton et présidente de la Commission permanente de la famille, Arthur Fauteux, maire de Cowansville et président de la CRÉ de la Montérégie Est et Nicole Laverdière, directrice générale de la Chambre de commerce et de l'industrie Les Maskoutains.

Pour bien démontrer que la famille, quelle que soit sa forme, demeure au coeur de ses préoccupations, la MRC Les Maskoutains vient de produire une « Déclaration en faveur de la famille » qu'a signée officiellement cette semaine la préfet, Francine Morin, en présence de partenaires de la MRC dans le dossier.

« En signant une telle déclaration, nous nous engageons résolument envers les travailleurs-parents et les proches aidants de la région qui doivent jongler avec leurs nombreuses responsabilités familiales et professionnelles », a déclaré Mme Morin, qui est aussi maire de Saint-Bernard-de-Michaudville.

Elle a signalé qu’au cours des 30 dernières années, beaucoup de chemin avait été parcouru au Québec en matière de conciliation travail-famille. « En 1980, on croyait que ça ne concernait que les femmes. Mais de nos jours, la conciliation travail-famille est l’affaire de tous », a-t-elle souligné.À la MRC Les Maskoutains, c’est en 2006, au moment de la création de la Commission permanente de la famille, que la conciliation travail-famille est vraiment devenue un dossier d’envergure régionale. L’année suivante, la Commission déposait une Politique de la famille contenant des mesures devant être mises de l’avant avec ses partenaires, dont la Chambre de commerce et de l’industrie Les Maskoutains, la Conférence régionale des élus de la Montérégie-Est (CRÉ) et le ministère de la Famille et des Aînés. Par la suite, c’est à travers un projet intensif d’un an lancé en septembre 2011 avec l’aide financière du Ministère et de la CRÉ que la MRC a poussé plus loin la promotion du concept.La chargée de projet, Mylène C. Archambault, s’emploie entre autres à convaincre le plus d’entreprises possible des bienfaits de la conciliation travail-famille pour elles-mêmes et leurs employés. Elle a également mis en ligne un sondage sur le sujet qui renseignera la Commission permanente de la MRC sur les attentes des travailleurs d’ici. Comme en témoignent des statistiques qu’elle a citées en conférence de presse, le besoin de support des familles est bien réel. Elle a notamment signalé qu’au Québec, en 2009, 77,7 % des femmes détenant un emploi travaillaient à temps plein avec à leur charge un enfant de moins de six ans, et que le quart des travailleurs québécois étaient des parents qui prenaient aussi soin de leurs aînés.Mme Archambault a précisé que le Bureau de normalisation du Québec définissait la conciliation Travail-famille comme étant « la recherche de l’équilibre entre les exigences et les responsabilités liées à la vie professionnelle et à la vie familiale. »

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