29 février 2024 - 03:00
L’ASRY change d’adresse
Par: Zineb Guennoun | Journaliste de l'Initiative de journalisme local
Dans les nouveaux locaux de l’ASRY, Jacques Beaudreault s’est dit prêt à accueillir de nouveaux membres en recherche d’accompagnement et de soutien psychologique. Photo Robert Gosselin | Le Courrier ©

Dans les nouveaux locaux de l’ASRY, Jacques Beaudreault s’est dit prêt à accueillir de nouveaux membres en recherche d’accompagnement et de soutien psychologique. Photo Robert Gosselin | Le Courrier ©

C’est dans un environnement plus spacieux que l’Association des stomisés Richelieu-Yamaska (ASRY) vient de déménager. Le conseil d’administration de l’ASRY a pris la décision de changer de local afin d’offrir à ses membres un espace plus grand offrant plus de confidentialité. Le nouvel emplacement de l’Association est situé au 1275, rue Blanchet à Saint-Hyacinthe.

« Nous étions dans un bureau de 280 pieds carrés, c’était très serré et il n’y avait aucune confidentialité pour les personnes stomisées qui venaient nous voir. Notre nouvelle adresse est d’une superficie de 750 pieds carrés et les bureaux y sont fermés, ce qui offre plus d’intimité à nos membres. C’est plus professionnel. Nous sommes également à proximité de l’Hôpital Honoré-Mercier, car on espère avoir une collaboration des professionnels du réseau de la santé », a souligné Jacques Beaudreault, président de l’ASRY.

Depuis le 30 janvier, les personnes stomisées en quête d’accompagnement et de soutien sont accueillies au nouveau local de l’ASRY.

M. Beaudreault explique que cette décision est aussi motivée par le nombre croissant de membres. Il prévoit une augmentation significative dans le futur.

« Actuellement, nous avons un total de 316 membres actifs et ce chiffre pourrait augmenter prochainement. Nous offrons un certain nombre d’activités pour aider les gens à bien se sentir dans la communauté. On les soutient moralement pour passer au travers des moments difficiles qui suivent la chirurgie à l’intestin. Ce sujet est souvent tabou et les personnes qui en souffrent préfèrent ne pas trop s’afficher. On cherche donc à dédramatiser la maladie. »

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