21 août 2014 - 00:00
Maison-mère des Soeurs de Saint-Joseph
Le Groupe Robin a versé 4,2 millions $
Par: Benoit Lapierre
Le Groupe Robin est le nouveau propriétaire de l’ancienne maison-mère des soeurs de Saint-Joseph-de-Saint-Hyacinthe. Photothèque | Le Courrier ©

Le Groupe Robin est le nouveau propriétaire de l’ancienne maison-mère des soeurs de Saint-Joseph-de-Saint-Hyacinthe. Photothèque | Le Courrier ©

Le Groupe Robin est le nouveau propriétaire de l’ancienne maison-mère des soeurs de Saint-Joseph-de-Saint-Hyacinthe. Photothèque | Le Courrier ©

Le Groupe Robin est le nouveau propriétaire de l’ancienne maison-mère des soeurs de Saint-Joseph-de-Saint-Hyacinthe. Photothèque | Le Courrier ©

Le Groupe Robin a pu se porter acquéreur de l’imposante maison-mère des Soeurs de Saint-Joseph-de-Saint-Hyacinthe en égalant, dans son offre d’achat, le montant de l’évaluation municipale de la propriété.

À la suite de la mise en vente de la maison-mère, la congrégation avait confirmé il y a un peu plus d’un an que c’est la proposition de ce promoteur maskoutain qui avait été retenue, sans toutefois en révéler le contenu. L’offre d’achat avait été signée le 13 juin 2013, mais les parties avaient convenu de garder le dossier confidentiel jusqu’à la conclusion de la vente.

Or, la transaction a maintenant eu lieu; elle a été enregistrée au Bureau de la publicité des droits de Saint-Hyacinthe le 7 juillet. Le prix payé par le Groupe Robin s’élève à 4,2 millions $, soit exactement le même montant que celui inscrit au rôle d’évaluation de la Ville de Saint-Hyacinthe pour l’immeuble à caractère institutionnel bordé de l’avenue Raymond, de la rue Notre-Dame et de l’avenue de la Bruère.

De manière à faciliter la reconversion des lieux, le Groupe Robin a demandé et obtenu en début d’année une modification de zonage afin que de nouveaux usages soient dorénavant autorisés dans la zone institutionnelle en question. L’ancienne propriété des soeurs de Saint-Joseph pourra abriter des bureaux de toutes tailles, des ensembles de logements variés (huit et plus) et des chambres à caractère communautaire (25 et plus).

On ignore pour le moment si des projets précis pour ces lieux sont en train de prendre forme. Le porte-parole du promoteur dans ce dossier, Jonathan Robin, était en vacances lorsque LE COURRIER a tenté de le joindre.

Les Soeurs de Saint-Joseph ont abandonné leur maison-mère en juin pour emménager aux Jardins d’Aurélie, cette maison de retraite qu’elles ont fait construire avec les Soeurs adoratrices du Précieux-Sang, à l’arrière de leur monastère de la rue Girouard Ouest.

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