Mi-août 2009, une odeur suspecte provenant de l’une des chambres avait attiré l’attention des locataires dans cette résidence privée qui offre un service d’hébergement aux personnes itinérantes et à celles ayant des problèmes de santé mentale et de consommation.
Les policiers de la Sûreté du Québec de la MRC des Maskoutains appelés sur les lieux avaient fait une macabre découverte en trouvant le corps des deux femmes couchées côte à côté sur le même lit en état de putréfaction avancée. Sur place, les autorités policières avaient trouvé des lettres à connotation religieuse ou les soeurs demandaient à Dieu de venir les chercher. Le délire religieux et l’absence de trace de violence ont amené le coroner Louis Jean Roy à conclure à un suicide par déshydratation et hyperthermie.