Toute cette aventure a débuté en septembre dernier alors que Lorena Meneses a posé la candidature de son entreprise pour participer à la neuvième saison de la célèbre émission. « Il y a beaucoup de triage au départ. Puis, j’ai eu une entrevue téléphonique et une audition. C’est seulement ensuite que j’ai eu une date pour un enregistrement. L’enregistrement s’est fait en février dernier. J’étais assez stressée cette journée-là, car je ne suis pas nécessairement à l’aise pour m’exprimer en public. Ce fut assez demandant mentalement, mais mon objectif, qui était de faire connaître encore plus notre produit, a été atteint. Je suis très contente », commente Lorena Meneses. Par ailleurs, les dragons n’ont pas manqué de faire remarquer combien la jeune entrepreneure était bien préparée, précise et avait toujours une réponse juste à apporter à chacune de leurs questions.
La demande initiale de Combia Cold Brew était de 90 000 $ pour 10 % des parts de l’entreprise.
La demande explose
Dès le lendemain de son passage à Dans l’œil du dragon, Mme Meneses a été submergée de demandes. « Tout a changé en une semaine, déclare-t-elle. Nous avons reçu plus de 1500 courriels depuis la semaine passée. J’ai quelqu’un qui ne fournit pas à répondre aux messages et plusieurs distributeurs ou commerces nous ont aussi contactés pour distribuer nos Combia. Nous effectuons des envois de colis sans arrêt depuis quelques jours. »
Souhaitant améliorer son marketing de produit et augmenter son démarchage pour Combia Cold Brew, Lorena Meneses sait que plusieurs discussions sont à venir avec les quatre dragons maintenant impliqués dans les succès de l’entreprise. Déjà, ses canettes de café infusé à froid 100 % naturel et sans sucre raffiné sont disponibles dans les Rachelle-Béry et, depuis peu, dans les Sobeys (IGA). Plus de 60 points de vente sont déjà accessibles aux gens désirant se procurer des Combia, dont le Marché Dessaulles et Mareiwa café, à Saint-Hyacinthe.
« On ne sait jamais comment les gens vont accueillir nos produits et notre compagnie. Mais là, c’était comme un rêve et j’étais enchantée d’accepter l’offre des dragons », conclut la jeune entrepreneure.