Ainsi, ce sont cinq automates, des postes de travail ainsi que les systèmes électrique, pneumatique et réseautique qui ont connu une cure de rajeunissement pour se rapprocher le plus possible de ce qu’on trouve dans l’industrie.
« Loin d’être uniquement un projet d’immobilisation, il s’agit d’un investissement dans la relève qui est en forte demande dans ce secteur en constante évolution. En fait, ce sont particulièrement les étudiants et les étudiantes des programmes de Technologie des procédés et de la qualité des aliments (TPQA) et ceux de Technologie du génie agromécanique (TGA) qui pourront profiter de ces outils à la fine pointe de la technologie », a fait valoir Alexandre Porlier, l’ingénieur et l’enseignant instigateur du projet.
La technologie et l’innovation au cœur des priorités
Les étudiants des deux programmes concernés par ces améliorations doivent développer des compétences afin d’assurer le fonctionnement d’un système automatisé, réaliser un système de contrôle avec un automate programmable, concevoir des panneaux de contrôle et résoudre des problèmes de commande en utilisant un système micro-informatique pour éventuellement offrir un soutien technique.
« Au sein de notre Institut, nous croyons fermement que la science est le moteur de l’innovation. Chaque jour, nos équipes travaillent avec passion pour allier rigueur scientifique et connaissance académique. Nous explorons des techniques avancées, de la biotechnologie à l’analyse des données, pour transmettre les meilleures pratiques à nos étudiants afin de garantir que les produits agroalimentaires sur lesquels ils travailleront plus tard répondent aux exigences de qualité et de salubrité », a affirmé Karine Mercier, directrice générale de l’ITAQ.
L’équipe qui a coordonné le projet s’est assuré d’acheter des composantes auprès d’entreprises locales. A.B.