« Le bâtiment est toujours à vendre. Nous vous informerons lorsqu’il y aura des développements dans ce dossier », a indiqué sans plus de détails en entrevue au COURRIER, Anita Jarjour, porte-parole de Parmalat Canada.
Rappelons que l’usine Parmalat de la rue Nelson avait cessé ses activités en août 2012 en raison de la centralisation des services à l’usine de Montréal.
Cette fermeture avait provoqué le licenciement d’une vingtaine d’employés.
Construite en 1955, cette usine, qui semble avoir été laissée à l’abandon par ses propriétaires, occupe un terrain d’une superficie de presque 13 000 pieds carrés. L’estimation municipale de la propriété est de 923 100 $.
« Un tel actif mérite d’être valorisé, estime André Barnabé, directeur général de Saint-Hyacinthe Technopole. Si Parmalat veut s’en départir ou bien y installer un nouveau projet, notre organisation peut y contribuer d’une façon ou d’une autre. L’important c’est de connaître les intentions réelles de l’entreprise pour mieux répondre à leurs attentes. »