Essayons de relativiser un peu. Le centre-ville se meurt et nous avons deux jeunes entrepreneurs qui ont le courage d’ouvrir une entreprise en pleine crise sanitaire et je vous vois tous taper sur le clou.
Des terres agricoles maskoutaines sont détruites à des fins commerciales. De pauvres gens sont expulsés de leur demeure pour faire place aux valeurs richissimes. Mais de petites entreprises bien locales comme Fatouche sont jugées et condamnées même avant leur ouverture. Alors, essayons de trouver une bonne balance sociétale et supportons nos entreprises locales.
M. Marquette, je ne crois pas que la provocation était le but primaire de ces jeunes entrepreneurs. Ce n’est pas le premier « Barber Shop » dans la région. Alors pourquoi cette crise? Nous en avons déjà une à gérer. Et soyons honnêtes, est-ce vraiment Barber Shop qui vous dérange ou le nom Fatouche?
Annie Lachapelle, Saint-Hyacinthe