Ce dernier affirme être dans l’impossibilité de commenter la situation « pour l’instant » et s’est également fait avare de commentaires sur les chances de voir M. St-Vincent-Rioux à son poste le 18 mai.
Rappelons que LE COURRIER s’était déjà intéressé à la situation à l’Hôtel de Ville de Saint-Liboire, en février, alors qu’une vague de démissions avait frappé le bureau municipal. En l’espace d’un peu plus d’un mois, trois employées parmi le personnel administratif avaient remis leur démission. Selon les informations que nous avions alors recueillies, ces départs n’étaient pas étrangers aux remous provoqués à l’interne par l’arrivée de M. St-Vincent-Rioux à la direction générale, en avril 2024.
Son style de gestion avait été dénoncé par ces employées auprès du maire. Celui-ci avait cependant accordé sa confiance à son directeur général, ce qui avait mené à la vague de départs. Joint par le journal, M. St-Vincent-Rioux avait alors déploré ces démissions tout en affirmant qu’il n’avait rien à se reprocher concernant la gestion de la Municipalité.
Pour l’instant, c’est le directeur adjoint Sylvain Laplante qui a pris la relève. Son contrat a d’ailleurs été modifié lors de la plus récente séance du conseil municipal. M. Laplante assure que l’absence d’Alain St-Vincent-Rioux n’affecte en rien la qualité des services municipaux actuellement offerts.