« Nous avons environ une centaine d’emplois à pourvoir en vue de l’été 2022. Pour l’instant, le volet plein air et sports ainsi que le volet aquatique se portent bien. C’est vraiment au niveau des accompagnateurs qu’il y aura beaucoup de travail à faire », affirme Mme Lapointe, qui refuse de parler de pénurie de main-d’œuvre en ce qui concerne les accompagnateurs de camp de jour.
Plusieurs campagnes de publicité ont fait surface dans les dernières semaines afin d’attirer les jeunes à venir travailler à la Ville. « On veut se démarquer en offrant une expérience de travail dynamique où les jeunes vont apprécier venir travailler chaque jour. On veut créer un esprit d’équipe entre les jeunes », dit-elle en promouvant les offres d’emploi qu’il reste à pourvoir.
Pour le moment, il n’y a pas de raison de croire qu’il y aura des postes laissés vacants d’ici le début des camps de jour qui prendront leur envol au mois de juin. « Il n’y a aucun retard dans nos démarches, l’échéancier est correct », assure mme Lapointe. Il est encore trop tôt pour penser à des solutions si jamais il y a un manque d’accompagnateurs aux camps de jour.
Une formation est offerte gratuitement pour le rôle d’accompagnateur, qui consiste à être avec un enfant ayant des besoins particuliers dans le but de l’introduire aux activités offertes par le camp de jour. « C’est sûr qu’il s’agit d’un bon défi », concède Mme Lapointe.