Et, tant qu’à y être, la Ville de Saint-Hyacinthe, une des sinon la plus francophone des villes québécoises, ne pourrait-elle pas se donner une politique plus respectueuse du fait français québécois quand il est question d’accorder des subventions à des entrepreneurs désireux de s’installer sur son territoire?
« De quoi je me mêle? », me direz-vous. Simplement de ce constat que la langue française perd continuellement de terrain au Québec. Et pas seulement à Montréal, de toute évidence. Nous avons à faire des choix de société et nous avons à les assumer pleinement et entièrement si ce que nous voulons pour nous-mêmes, nos enfants et nos amis de toutes origines c’est de bien vivre en français et dans le respect de notre culture au Québec.
Cela dit, messieurs Aly et Dagher-Rodrigue, « Fatouche », j’aime bien. « Salon de barbier », j’aurais mieux aimé. Vous l’aurez compris.
Bon succès tout de même dans votre entreprise. Et n’oubliez pas les auteurs, compositeurs et chanteurs québécois, hommes et femmes, dans la musique à faire entendre à votre clientèle. Le choix est impressionnant et génial à toutes les enseignes.
Yvon Pesant, Saint-Marcel-de-Richelieu