L’effet le plus saisissant de la petite guéguerre de l’essence à laquelle se livrent quelques détaillants à Saint-Hyacinthe depuis quelques mois déjà est de constater qu’il est désormais possible de dénicher de l’essence ordinaire au même prix qu’aux stations-service situées en bordure de l’autoroute 20 à Saint-Liboire. On a (trop) longtemps décrié la différence notable existante entre ces deux secteurs par le passé.
La compétition est particulièrement vive dans le quartier Saint-Joseph entre les stations-service de l’avenue Saint-Louis, tout particulièrement entre les bannières Harnois et Petro-Canada. Avis aux intéressés, l’immeuble commercial où loge cette dernière ainsi que le Tim Hortons est à vendre pour la somme de 3,5 M$.
Coïncidence ou pas, rappelons que la bâtisse commerciale qui abrite la station-service de la bannière Harnois est aussi sur le marché. Son propriétaire en demande 1,9 M$. On y trouve un dépanneur et un lave-auto. Selon la fiche du courtier, on y vend autour de 2,5 millions de litres d’essence par année, en plus d’y faire quelque 7500 lavages de véhicules. Le fonds de commerce est offert pour 600 000 $.
Un ancien cadre de l’Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ) et du Cégep de Saint-Hyacinthe vient de se trouver du boulot du côté du Cégep de Sorel-Tracy à titre de directeur des études par intérim. Michel Ste-Marie a été nommé à ce poste le 11 octobre. À Saint-Hyacinthe, il s’était fait connaître comme directeur du campus et des études de l’ITAQ et en tant que directeur des études du Cégep de Saint-Hyacinthe où il n’aura finalement fait que passer, y restant un peu plus d’un an.