• Le parti municipal Saint-Hyacinthe unie a tenu son assemblée annuelle le 25 septembre au restaurant L’Espiègle. En présence des membres du conseil d’administration (CA) et d’une poignée de sympathisants, le chef Jean-Luc Cécyre a rappelé les réalisations (?) de la dernière année et a accueilli deux nouveaux membres au sein du CA. Un congrès d’orientation doit avoir lieu au début de la prochaine année qui culminera avec les élections municipales à l’automne.
• S’il n’est pas omniprésent sur la scène publique en ce moment, le parti Saint-Hyacinthe unie apparaît régulièrement dans la liste de comptes mensuels de la Ville de Saint-Hyacinthe. Son statut de parti politique autorisé lui donne droit à des allocations qui transitent par la Municipalité. Lors de la dernière séance, la Ville de Saint-Hyacinthe a ainsi versé la somme de 2400 $ à Jean-Frédéric Vaudry, représentant officiel du parti.
• À propos des prochaines élections municipales, elles doivent avoir lieu en principe le 2 novembre 2025. En principe puisque les unions municipales font pression pour que le gouvernement les repousse de six mois, soit au 4 mai 2026, question d’éviter un chevauchement entre les élections municipales, provinciales et fédérales. Reste à voir aussi si le gouvernement de Justin Trudeau survivra jusqu’au prochain scrutin fédéral prévu, au plus tard, le 20 octobre 2025. La Ville de Saint-Hyacinthe fait partie des municipalités qui souhaitent une élection générale printanière en 2026.
• Fidèle à ses habitudes, le Journal de Montréal a passé au peigne fin les dépenses des quelque 36 missions à l’étranger effectuées par les parlementaires québécois depuis un an. Vu son titre de présidente du Réseau des femmes parlementaires de la francophonie, on ne s’étonnera pas trop d’apprendre que la députée de Saint-Hyacinthe Chantal Soucy a participé à trois des cinq missions les plus coûteuses, soit en Géorgie, en Islande et en Roumanie. Son mandat lié à la francophonie s’est terminé en juillet.