• On ne pourra jamais accuser la Ville de Saint-Hyacinthe et son comité de démolition d’avoir tourné les coins ronds dans l’analyse de la demande de démolition de la Maison Saint-Roch et de la Villa des Pins du Collège Saint-Maurice. On savait déjà que l’analyse municipale s’appuyait sur non pas une, mais deux expertises indépendantes sur l’état des bâtiments.
• Une contre-expertise en architecture des bâtiments qui seront détruits a entre autres été produite par la firme Beaupré Michaud et Associés, architectes de Montréal pour un montant de 13 509 $. Cette firme est spécialisée dans la restauration du patrimoine architectural, la rédaction d’études historiques et patrimoniales et l’élaboration de carnet de santé. La rumeur veut également que l’expertise du Centre d’histoire de Saint-Hyacinthe ait été mise à contribution au cours du long processus d’évaluation.
• Qu’on se le dise, la Ville de Saint- Hyacinthe a à cœur la santé et le bien-être de ses employés. Lors de la dernière canicule, des cols bleus travaillant à l’extérieur sous une chaleur accablante ont reçu des boissons hydratantes. Une dépense de 116,67 $ a été remboursée à la directrice de production au Service de la gestion des eaux usées et de la biométhanisation.
• La Fondation pour l’alphabétisation vient d’annoncer les lauréats 2025 des Bourses Retour réussite d’une valeur de 1500 $ chacune, à des adultes issus de différentes régions du Québec ayant repris leurs études pour améliorer leurs compétences de base. Du côté de Saint-Hyacinthe, les parcours inspirants de Jessica Cornejo-Saint-Onge et de Julie Brodeur, deux femmes déterminées qui ont poursuivi leurs études au Centre d’éducation des adultes Saint-Hyacinthe–Acton, ont été récompensés.
• À 35 ans. Jessica a tout juste obtenu son diplôme pour amorcer une formation d’infirmière auxiliaire à l’automne, tandis que Julie, 42 ans, complète les préalables pour un DEP en dessins de bâtiments.
