18 juin 2020 - 14:06
Institut de technologie agroalimentaire
Session d’automne majoritairement à distance
Par: Jean-Luc Lorry
L’ITA se prépare à offrir une session d’automne principalement à distance sur ses campus de Saint-Hyacinthe et de La Pocatière. Sur la photo, Rémi Richer-Lanciault, professeur aux programmes de Technologie des productions animales (TPA) et de Gestions et technologies d’entreprise agricole (GTEA) au campus de Saint-Hyacinthe. Photo gracieuseté

L’ITA se prépare à offrir une session d’automne principalement à distance sur ses campus de Saint-Hyacinthe et de La Pocatière. Sur la photo, Rémi Richer-Lanciault, professeur aux programmes de Technologie des productions animales (TPA) et de Gestions et technologies d’entreprise agricole (GTEA) au campus de Saint-Hyacinthe. Photo gracieuseté

Pour la session d’automne qui débutera à la fin août, l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) est à planifier une formule principalement à distance pour ses campus de Saint-Hyacinthe et de La Pocatière.

« Nous nous préparons pour une session qui sera sous une forme hybride. Une partie des cours se fera en ligne et l’autre en présence de l’étudiant », indique Monique Lambert, directrice des études par intérim pour les deux campus de l’ITA, en entrevue téléphonique au COURRIER.

L’ITA est un établissement d’enseignement collégial qui offre sept programmes de formation technique dans les secteurs agricole, horticole, équin et alimentaire.

Les équipes de cette institution profiteront de l’été pour préparer les deux sites à accueillir les étudiants afin qu’ils puissent respecter les mesures sanitaires dictées par la santé publique. « C’est un enjeu avec lequel nous allons devoir composer en collaboration avec les professeurs, les technologues et les services aux étudiants. Grâce à l’été, nous avons du temps devant nous pour nous préparer et nous assurer que la formation sera de qualité », souligne Mme Lambert.

La multitude de cours proposés par l’ITA nécessite la présence d’étudiants à des ateliers et laboratoires.

Monique Lambert considère que l’ensemble du corps professoral va pouvoir compter sur l’expérience acquise ces derniers mois en formation à distance.

« Nous disposons d’une bonne base. Cela va nous permettre d’être plus forts pour la rentrée », estime Mme Lambert.

« Ce n’est pas la situation actuelle qui va nous faire perdre de vue le bien-être et la réussite de nos étudiants », poursuit-elle.

Pour la session d’hiver, en raison de la pandémie, les cours avaient repris début avril pour se terminer le 15 mai. Au total, quelque 200 étudiants ont été diplômés, tous programmes confondus.

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