16 juin 2016 - 00:00
Transcontinental : bâtir pour la pérennité une histoire de valeurs… et d’amitié
Par: Le Courrier
Benoit Chartier en compagnie des trois cofondateurs de Transcontinental, soit Claude Dubois, Rémi Marcoux et André Kingsley lors des célébrations entourant les 40 ans de l’entreprise, le 26 mai dernier.

Benoit Chartier en compagnie des trois cofondateurs de Transcontinental, soit Claude Dubois, Rémi Marcoux et André Kingsley lors des célébrations entourant les 40 ans de l’entreprise, le 26 mai dernier.

Benoit Chartier en compagnie des trois cofondateurs de Transcontinental, soit Claude Dubois, Rémi Marcoux et André Kingsley lors des célébrations entourant les 40 ans de l’entreprise, le 26 mai dernier.

Benoit Chartier en compagnie des trois cofondateurs de Transcontinental, soit Claude Dubois, Rémi Marcoux et André Kingsley lors des célébrations entourant les 40 ans de l’entreprise, le 26 mai dernier.

Ceux qui doutaient encore des liens d’affaires et d’amitié profonds entre l’imprimeur Transcontinental et DBC Communications et entre les familles Marcoux et Chartier seront confondus à la lecture d’un ouvrage lancé récemment dans le cadre du 40

Transcontinental : bâtir pour la pérennité — une histoire de valeurs retrace la fabuleuse histoire de l’entreprise à travers ceux et celles qui lui ont donné vie au cours de toutes ces années, à commencer par son fondateur Rémi Marcoux ainsi que ses deux associés Claude Dubois et André Kingsley.

On y retrace les grands moments de l’entreprise, de ses balbutiements en janvier 1976 avec le rachat d’une imprimerie en faillite à Saint-Laurent jusqu’à sa percée canadienne et nord-américaine, en passant bien sûr par ses nombreuses acquisitions. Celle de l’Imprimerie Chartier de Saint-Hyacinthe, acquise par Transcontinental en 1979, y est relatée avec moults détails. Trois pages évoquent les dessous de cette transaction stratégique, en faisant ressortir les liens indéfectibles qui ont ainsi été tissés entre Rémi Marcoux et Denis Chartier, cofondateur de l’Imprimerie Chartier. « Les deux hommes avaient tout pour s’entendre et se respecter. Entre autres, ils partageaient le rêve lointain de transmettre leur entreprise à leur famille. Leur relation d’affaires s’est rapidement transformée en une solide amitié qui s’étendra à leurs enfants. Le fondateur de Transcontinental admirait aussi chez son partenaire son sens des affaires et son engagement communautaire inextricablement liés. Et il lui enviait son talent de golfeur », peut-on lire dans le chapitre consacré à l’expansion.

L’ouvrage écrit par Jean Blouin et à tirage privé pour les proches, les partenaires privilégiés et les employés de Transcontinental renferme également une photo de l’imprimerie Chartier au moment de son acquisition, de Denis Chartier, et de son fils Benoit, actuel propriétaire et éditeur du Courrier de Saint-Hyacinthe.

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