L’organisme a pour mission de créer des relations de mentorat inspirantes et déterminantes qui révèlent le plein potentiel des jeunes et les outillent pour l’avenir. L’équipe a voulu mettre sur pied une campagne de financement d’avant-match en vue du prochain quillothon de 2022 puisque la pandémie a privé l’organisme de son événement l’an dernier.
La directrice générale de GFGSM, Marie-Hélène Demers, encourage toute la communauté à faire part de sa générosité. « Nous avons besoin d’un minimum de 50 donateurs pour atteindre notre objectif. L’argent amassé servira à poursuivre notre mission. Nous devons aider les jeunes d’aujourd’hui à devenir des adultes responsables. Plus que jamais, les jeunes ont besoin de se sentir encadrés. Ils doivent avoir un mentor sur qui ils peuvent compter », mentionne-t-elle.
Une vidéo promotionnelle
La vidéo promotionnelle de la campagne de financement a été produite par Dominick Cousineau-Benoit de chez Prodimage. Elle met en vedette un grand frère de l’organisme, Benoit Sansoucy, et ses deux « petits frères », Mickael et Marshal, pratiquant diverses activités.
« Cette vidéo vient mousser la campagne. Elle illustre l’importance de s’investir auprès des jeunes et de les aider à se trouver une passion », mentionne Marie-Hélène Demers.
Très impliqué socialement, Benoit Sansoucy trouve que c’est une opportunité de redonner à la jeunesse. « Je suis reconnaissant de la chance que j’ai à plusieurs niveaux, donner au suivant d’une façon significative a toujours été important pour moi. C’est pourquoi je m’implique auprès de l’organisme Grands Frères Grandes Sœurs depuis plusieurs années. Je prends ce rôle très au sérieux et j’y mets tout mon cœur. J’ai comme objectif de leur transmettre le meilleur de moi-même et surtout d’être responsable, de dire la vérité et de toujours faire face aux obstacles, peu importe leur niveau de difficulté », indique-t-il.
Pour faire un don
La campagne de sociofinancement se terminera le 17 juillet. Il est possible de faire un don au www.laruchequebec.com/gfgs-monteregie. « Nous avons la certitude qu’ensemble, on peut changer le monde un jeune à la fois », conclut Marie-Hélène Demers.