11 janvier 2018 - 00:00
Nouvelle famille à Saint-Hyacinthe
Un déménagement en plein froid polaire
Par: Olivier Dénommée
Selon Manuel Philibert-Dubois, déménager en hiver n’est pas plus compliqué que de le faire en été, au contraire! La qualité du travail d’équipe y est pour beaucoup.   Photo Annie Blanchette

Selon Manuel Philibert-Dubois, déménager en hiver n’est pas plus compliqué que de le faire en été, au contraire! La qualité du travail d’équipe y est pour beaucoup. Photo Annie Blanchette

Selon Manuel Philibert-Dubois, déménager en hiver n’est pas plus compliqué que de le faire en été, au contraire! La qualité du travail d’équipe y est pour beaucoup.   Photo Annie Blanchette

Selon Manuel Philibert-Dubois, déménager en hiver n’est pas plus compliqué que de le faire en été, au contraire! La qualité du travail d’équipe y est pour beaucoup. Photo Annie Blanchette

Marie-Michelle Hamel et Manuel Philibert-Dubois, en plein déménagement samedi.   Photo Annie Blanchette

Marie-Michelle Hamel et Manuel Philibert-Dubois, en plein déménagement samedi. Photo Annie Blanchette

Une scène traditionnelle de déménagement au Québec ressemblerait probablement à une journée de canicule le 1er juillet avec les routes et les stationnements bondés de remorques. Ce n’est absolument pas ce à quoi a ressemblé le déménagement d’une petite famille dans sa première maison la fin de semaine dernière.


Manuel Philibert-Dubois, Marie-Michelle Hamel et leur petite Charlotte ont pu dormir vendredi pour la première fois dans leur nouvelle demeure sur la rue Bourdages Sud, après un déménagement bien organisé et étonnamment sans embûches. « Tout s’est très bien passé. On s’est adapté face à la température et une équipe défaisait les boîtes au fur et à mesure que l’autre les faisait entrer. C’était très efficace et on doit cette organisation à ma blonde! », confirme Manuel Philibert-Dubois, originaire d’Otterburn Park.
Pour la petite famille, le prix a été un enjeu important dans le choix de sa future demeure, mais M. Philibert-Dubois admet être « tombé en amour avec la maison » lorsqu’il y a mis les pieds. Pour sa conjointe, Marie-Michelle Hamel, c’est aussi un retour au bercail, elle qui est Maskoutaine d’origine.
Aucun regret
Pour M. Philibert-Dubois, les prix plus avantageux des camions-remorques, le faible achalandage sur les routes, le stationnement plus accessible et la température froide ont contribué au succès du déménagement. « Si j’ai à redéménager plus tard, je veux que ce soit l’hiver », considère-t-il sérieusement.

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