5 janvier 2023 - 07:00
Salon de l’agriculture de Saint-Hyacinthe
Un lieu, trois jours, 275 exposants
Par: Le Courrier
L’équipe du Salon de l’agriculture est heureuse de pouvoir renouer avec le public pour cette 37e édition du 17 au 19 janvier. Photothèque | Le Courrier ©

L’équipe du Salon de l’agriculture est heureuse de pouvoir renouer avec le public pour cette 37e édition du 17 au 19 janvier. Photothèque | Le Courrier ©

Impossible d’en douter : le Salon de l’agriculture de Saint-Hyacinthe est là pour rester, pour grandir, pour servir. C’est qu’il en a fait du chemin depuis sa première incarnation sous le nom de La Semaine du cultivateur, en 1968, jusqu’à sa forme actuelle, développée et optimisée depuis 1986.

Il aura également survécu à une pandémie, difficile pour tous, mais encore davantage pour un milieu où tout se joue encore à hauteur humaine, face à face sur le plancher des vaches. Alors que cette 37e édition marque le retour en force du présentiel, David Messier, directeur général, effectue un bref survol de ce rendez-vous prévu pour les 17, 18 et 19 janvier dans les aires d’Espace Saint-Hyacinthe.

Organisé par l’équipe de GoXpo créateur d’événements, en partenariat avec Financement agricole Canada (FAC), l’événement est et demeure le carrefour par lequel les nouvelles du milieu et les plus récents produits et services trouvent leur public. « Le Salon de l’agriculture est une occasion de venir rencontrer d’un seul coup plusieurs représentants et entreprises du domaine agricole pour le développement de nouveaux projets et obtenir des réponses à ses questions, note David Messier. Les visiteurs découvriront la variété de thèmes et de sujets reliés à leur réalité au travers de conférences, panels et experts présents à l’événement. Nous croyons que cette édition reflète les besoins des agriculteurs et nous sommes fiers de contribuer à l’évolution de notre milieu. »

Forte présence et partage de connaissances

Plus que jamais, le rendez-vous promet de correspondre aux besoins de l’heure en matière de gestion et de technologie agricoles. À preuve : avec plus de 275 exposants ayant confirmé leur présence, les milliers de visiteurs attendus auront l’occasion de vivre une expérience unique lors de leur passage. « Que ce soit des questions sur l’élevage, le biologique, les technologies, la grande culture, nos quatre pavillons constitueront l’endroit tout désigné pour trouver des réponses aux défis actuels du milieu », assure M. Messier.

Dans le but de toujours répondre aux questions des agriculteurs, le Salon offrira plusieurs conférences portant sur certains des enjeux actuels, dont la pénurie de main-d’œuvre, les meilleures pratiques écoresponsables de l’agriculture et les innovations technologiques visant à améliorer la rentabilité financière des fermes d’ici.

L’effet présentiel

Après deux éditions en présentiel annulées pour cause de pandémie, l’endroit risque fort d’être animé d’une ambiance unique. « Un événement aussi important que le Salon de l’agriculture se définit certainement en tant qu’activité sociale. Pour la plupart des visiteurs et exposants, le Salon constitue l’endroit idéal pour s’échanger les dernières nouvelles et discuter de différents sujets, dans une ambiance conviviale. On y rencontre à la fois de nouveaux visages et de vieilles connaissances. Pour le réseautage, c’est clairement un incontournable », soutient David Messier.

Nouveautés, nouveautés

Parmi les nouveautés annoncées, le Salon de l’agriculture sera le théâtre de nombreuses conférences informelles et éducatives visant la clientèle agricole, et ce, dans l’un des quatre pavillons réservés à cet effet.

Du côté des technologies et de la machinerie, pas moins de 40 nouveaux produits seront présentés. « Des produits pouvant faire la différence pour bon nombre d’éleveurs et d’agriculteurs », précise le directeur général.

Autre nouveauté : l’achat d’un billet donne maintenant accès aux trois jours du Salon. « Il était important pour nous d’éliminer tout obstacle à l’entrée. C’est pourquoi il sera désormais possible au détenteur de revenir le lendemain ou le surlendemain, question de s’assurer de tout voir, de poser les bonnes questions aux bonnes personnes », conclut Davis Messier, visiblement heureux de ce changement. Nul doute que les visiteurs le seront également et sauront en tirer profit.

Pour se procurer des billets, on visite le salondelagriculture.com/billetterie.

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