L’étude du dossier a été effectuée par l’Université d’Ottawa. De son côté, l’Institut de Protection contre les Incendies du Québec assurait la sécurité sur le site lors de cette journée importante.
L’expérience à deux volets a permis l’amélioration des techniques de combat lors d’incendies ainsi que l’observation des phénomènes thermiques pour l’aspect pédagogique et l’évaluation de l’exposition aux particules qui peuvent devenir source de cancer chez les pompiers. Il a aussi été possible de valider si les données permettaient de comptabiliser une diminution de la consommation d’eau lors d’un incendie.
« Effectuer une activité de cette envergure en pleine pandémie n’était pas facile, mais nous avons toutefois été en mesure de jumeler un pompier de Laval avec un pompier d’ici pour permettre à tout le monde d’avoir les mêmes bases. La journée a vraiment été bénéfique pour toute l’équipe en place. C’est une expérience qu’on ne vit pas tous les jours », a affirmé le directeur adjoint de la Régie intermunicipale de protection incendie du Nord des Maskoutains, Sébastien Daviau. Près de 25 pompiers maskoutains ont eu l’opportunité de participer à cette journée.