23 mars 2017 - 00:00
Le Petit Lorrain
Une vitrine sur la gastronomie française
Par: Jean-Luc Lorry
Mélanie Dasque et son conjoint Clément Cormenier exploitent la charcuterie-boulangerie-traiteur, Le Petit Lorrain. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Mélanie Dasque et son conjoint Clément Cormenier exploitent la charcuterie-boulangerie-traiteur, Le Petit Lorrain. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Mélanie Dasque et son conjoint Clément Cormenier exploitent la charcuterie-boulangerie-traiteur, Le Petit Lorrain. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Mélanie Dasque et son conjoint Clément Cormenier exploitent la charcuterie-boulangerie-traiteur, Le Petit Lorrain. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Originaires de la région Lorraine en France et installés depuis novembre 2016 à Saint-Hyacinthe, Clément Cormenier et sa conjointe Mélanie Dasque exploitent depuis peu un nouveau commerce sur le boulevard Casavant Ouest où l’on peut découvrir plusieurs produits alimentaires typiques de l’hexagone.


Viennoiseries, pâtisseries, charcuteries sans gluten et plats cuisinés se partagent un large comptoir de verre.

« Nous voulons proposer à la clientèle des produits dont les recettes sont de tradition française », indique Mélanie Dasque qui gère la charcuterie-boulangerie-traiteur, Le Petit Lorrain.

Parmi les plats cuisinés proposés à la vente, on retrouve la quiche lorraine, le pâté lorrain ou le gratin provençal. 

En arrivant au Québec, Clément Cormenier a fondé Les Entreprises Cormenier qui regroupent ce commerce et un local destiné à la fabrication, d’une superficie de 2 200 pieds carrés sur l’avenue Beaudry. Ce projet entrepreneurial représente un investissement de base de près de 300 000 $.

Clément Cormenier a vu l’opportunité de s’installer au Québec à la suite de sa participation à une mission économique en 2015 organisée par la Chambre de commerce et de l’industrie de France et son équivalent pour la région Lorraine.

L’entrepreneur français a profité des services offerts par Saint-Hyacinthe Technopole pour faciliter son implantation en sol maskoutain.

Importation d’un fumoir

M. Cormenier souhaite encore agrémenter le choix de charcuterie. « Nous attendons un fumoir d’Allemagne qui nous permettra de fabriquer de nouvelles sortes de saucisses ainsi que du saucisson sec », précise le chef d’entreprise.

Le couple vise également la création d’un espace restauration dans le commerce pour permettre à la clientèle de déguster sur place des plats faits maison. 

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